
ha, ha, notre danse, héliogabale, dionysos et moi
précis de méréologie (héliog’, diony’ et moi)



























la fin de la chose…


ahhhh, hummmm, tchiiii… alors, mon chronosaure ?
le chronosaure voici. cherche sa proie. il est ce qui dévore le temps de chacun. très parallèle au singe sur l’épaule. chacun son chronosaure, jedem das seine !!! Oui ! ha, ha, brrr, glll, cela forme ensuite, toi et lui, une entité symbiotique, dès que tu es existant, il est là et te bouffe. crève doucement, toi.
A ce jour, 15 quintidi de Floréal 233, ne sais qu’en faire…
Peut :
* être offert au brocanteur chez qui j’ai acquisitionner leu coquillage ;
* à quelqu’un d’autre ? ;
* déprosé aux hasards dehors, le laissant à son destin ? ;
* être dorné ainsi que prévu à l’origine à mon gendreux ;
* finir rien rangé avec moi, prenant poussière et me contemplant avidement et peut-être avec excitation sexuelle (a-t-il même envie de me pincer mes délicats et sensibles tétons ?) ;
* être vendutionné, mais en ce cas ki ken voudraitil de il ? Pfff…
le fabuleux concert du chronosaure (nouveau moi est si beau !)
quelque chose, et le chronosaure qui tourne
c’est donc la danse et le chant du chronosaure
ha, ha, hi, hi, voirli mar belleuseuse arnnonce :
Il était une fois, un arbre-de-sexe, un sexuyer donc, dont les fruits étaient des êtres vivants. Son nom pouvait être également, cela dépendait des contrées de sa situation, arbre poly-copulaire ou encore, totem porno-ligneux… Qui le regarde, puisque son pouvoir de fascination n’a d’égal, qui le sent, car sa puissance olfactive est incommensurable, se trouve aussitôt et sans tarder, proprement hypnotisationné ! Il provoque alors une augmentation intense de l’énergie phantasmoïde, électrisant corps et nerfs et sens et imaginaire ! Oui, oui, oui…
Ses fruits, sur l’exemplaire de notre connaissance, sont les suivants :
La bite biteuse fièreuse bandeuse ithyphaliqueuse hargneuse puissanteuse voluptueuse, projettise son foutre avec une pression de 11 bars à une hauteur de 15 mètres. Gniarf, elle est pure et grosse volonté de pénétration !
La vulve à la chair blanchâtreuse et douceureuse, d’écarlate embellée, nommée également et aussi, vulvosse, estions un insecte vulvaire et vulvique, se nourrissant de phrallus, puissamment toxique, dont le coït entraîne la mort par dessèchement. Elle est à la fois magnifiquement odorante et appétissante en même temps que puante et dégueulasse.
La pieuvreuse, bonheur et malédiction, enserre son prétendant de ses mortelles tentacules. Elle aime et adore les faire pénétrer dans ta bouche, ton anus vibrant, ton vagin criant, tandis qu’elle te déchire les tétons, ha, ha, ça te rend folle d’excitation (salope).
L’androgyne, est-ce moi ? est-ce toi ? baiseras-tu ? seras-tu baisé ? seras-tu baisée ? suce et encule, jouissance absolue ultime magnifique foutreuse et foutrale…
Le couple, comme monade double close sur elle-même, exsangue et plein de mollesse, capable d’une bouillavance de 72 heures de suite !
La salope, au cul rouge carmin offert, diffuse une senteur vaginale étourdissanteuse, pouvant être sentie à vingt kilomètres aux alentours… Elle aime se cambrer en attente d’être remplie, défoncée, mais peut-être n’est-elle que fantasme de toi, spéculaire présence, alors infiniment dérangeante ?
contemplation de l’arbre copulaire
alors, si proche est donc un autre monde….
du sexuyer, la danse
Cet esprit du bois là est fondramentalement cruello, si, si… Il s’argit, pour mon pllllus grand blonheur sexuel, d’une fermelle entité, fonctionnellement baisable grâce à son orifice vagino-ligneux… Son ire ne se laisse armadouer que par robuste baisance et ferme apport et offrandite spermique.
danse incantatoire du holzgeist
porno holzgeist 2
regarde-moi séduire l’esprit du bois !
je monte l’escalier
des traces de sang sur le carrelage de l’étage
entre
ma fille minuscule pleure dans la chambre
sa mère est allongée dans le lit
pressentiment
elle est déjà froide et raide
morte
j’explose
s’occuper de mon bébé
police
plus tard
le corps reste seul
il suinte et gonfle et pue
atroce
ceci est une sylviedeleu n’étant plus
encore quelqu’un qui n’est plus
Les effets de la naissance de mes sculptures : je rêve délectationement que je fais l’amour avec un cadavre en putréfaction
Gisante, étalée mauvaise comme méduse échouée depuis trop longtemps
Gonflée…
Les chairs se détachent
Son sein me reste dans les mains
Un de ses yeux pends, crevé au bout de son nerf, je le prends en bouche et le sectionne
J’aspire ensuite la sanie puante coulant de ses lèvres
Plonge la main dans son vagin déliquescent, en arrache le clitoris et le suce béatement
Les couleurs de sa peau : mordorée ET ?
J’écarte d’un geste les mouches noires affamées et plonge mes mains dans sa plaie
Par une césarienne d’horreur, j’entrouvre son ventre et vient plonger mon visage dans ses entrailles, grognant, secouant, haletant, sexuelant. Des vers y grouillent déjà.
Je suffoque nauséeux heureux
Des filaments de mort, de bouillie pourissante, coulent alors de ma face lorsque je la relève, comme des larmes malades…
Il me faut maintenant comprendre ce que je ne vois pas des mains. La première, chtonienne, possède un corps comme spongieux, comme un nuage noir durci, tandis que l’autre, ouranienne, se poursuit vers une seule peau, vide et sans corps, où ne subsistent que des parties: de rares mèches de cheveux, quelques nerfs, un peu de chair, des ongles, une forme générale…
C’est moi, c’est moi, je suis la proie, je suis la proie, je suis la proie, je suis la proie
elles savent happer
j’entends à présent, c’est un sussurement, les mots secrets : 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701
Comment vais-je bander en te disant : «je vais maintenant te fracasser le crâne à coups de bottes noires, jouir en entendant tes os craquer et ton visage ensanglanté se défigurer, gicle, brise, écrase, gémit, cri, pleures, suinte…» ?
sombrer dans le chaos ou s’évaporer dans le néant, ha, ha, ha…
deux chaos sont, alors ? le chaos primordial est faille, béance, l’autre sens est grand désordre, j’en bave.
écoute, écoute, te désirer, la folle mort ouranienne, envoutante et sensuelle danseuse grisâtre, depuis son par-delà noir, par ses plumes enjolivée dans le doux balancement de l’agonie…
Une main des terres pourries et l’autre des airs toxiques sont
immobilisation du chaos, de la mort, fixationnement, je sais FAIRE !
la mort tend sa main vers moi
danse de la dissolution par la main chtonienne
écoute, écoute, te désirer, la folle mort ouranienne
elle est envoûtée par la séduisante mort chtonienne
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