lampadaire ithyphallique à tête vulpine
lampadaire est une pendeuse ithyphallique à tête vulpine, une femme cambrée au bord de l’orgasme et une pneuma-machine surveilleuse
danse silentieuse du lampadaire
lampadaire ithyphallique à tête vulpine
lampadaire est une pendeuse ithyphallique à tête vulpine, une femme cambrée au bord de l’orgasme et une pneuma-machine surveilleuse
danse silentieuse du lampadaire
estrivale modasse, n’y a que du fait-maison qui rend moi si beaubelleuse…
Poly-ipséité
La poly-ipséité dé………………………..sign (VIENS)e la possib
ilité pour un mê……..me individu d’abriter en lui plusieurs formes de vie réel………………………….…..les et disAHOUUUUUtinctes et discontinu
es, à la différence des per…………………..sonnalités, se part……..ageant les mê(PAS)mes co
rps et ayant div
ers niv………………eaux de présence.
prolégomènes à l’ét
ude de la poly-i…pséité : gynomorphisme…………. et thérianthropie
Bio-polymorp(ME)hisme désigOUAHHHne l’étude d
es différentes form………es de vie intérie……ures à un individu
Bru..nehilde e
st
Yun. Préno………m et signif(FAIRE)ication : Le pr……………………………….énom Yun signifie ‘nuages’ en Chine. C’est égaleHOUUUUUment un prén…………om ma
sculin. Prénom et caractère : La petite fil
le …….pr……….énommée Yun a des qualités q…………….u’on qualifie d’habi(CHIER !)tude de masculines
Né dans les nuages
Rage f…………..roide
Longue es
t ainsi la liste……… des mots la désignant : Zelda, ra(JE)ge froide, yun, Brunehilde, la tentaculaire, Penthésilée, e……………lle
Il
y
a aussi, est-ce po………ssible, quelque ch………………….osAHOUUUUUe qui ressemble à un loup…
C’est le dés…………….ir ou le sexe qui semblent imp
orta….nts décle(VAIS)ncheurs
prol..égomènes à la poly-ipséité
Son nom pe……..ut tout simHHHOUUUIplement être Penthésilée
Le loup : juste son………. nom ou Wolf
Nachtwolf : lou(TE)p nuit
Je suis le lyca…….nthro……pe
Les laiss
er agir, appre
ntissage
Comment se forment elles ?
So…………nt-elles déOUAFjà là ? Phénotype et génotype ?
Le potentiel ? La contagion ?
Quand son empriAAHHHOUse se dépr
end, je r………………………….esse(TUER)ns quant à m……
…oi un léger, très léger, dé(BOUFFE)goût…
Je caresse ma c
hatte jusqu………’à l’orgasme
Fabuleus…ement jouit : simult
anément un doigt dans mGRRRRRa chatte, britaillé m
on clito et astiquer ma bite !
Je les externalise aiséGRRRRRment, c’est à
dire que j’ima(MOI LE)gine la …………………..femme e…………………t le loup hors de moi, nous communiq……….uons plus fa…..cilem…..en
t ce me sem(CLITO)ble…
Loup avait for
te(CONNARD !)ment envie de courir, cette nuit. Sa présence es……..t très très forte, uWOUFFFGne éner……gie be
aucou
p plus intense ! L’impression d’une gran…..de puis…
..sance. WOUFF…..
conférence stricte : poly-ipséité, gynomorphisme et lycanthropie
conférence subtile et distordue sur la poly-ipséité, la gynomorphie et la thérianthropie
doux chant de la poly-ipséité
époustouflante danse de la poly-ipséité
porno-elles
Orée est
son nom est “celle-qui-luit-dans-le-noir”, en grec : φως του σκοταδιού, Licht der Dunkelheit en allemand, pole na butu en lingala, les seules vraies langues du monde, donc et bien entendu.
une poupute, aussi est-elle (ha, ha, bien-sûr!)
une danseuse agonique, celle qui attend, au bout de l’agonie…
elle appartient ainsi aux deux mondes de la vie et de la mort, avec des volutes de feux dansant sur son crâne
Avec qui, décédée certainement à présent, petite fille jolie et aimée devenue bon cadavre sans doute oubliée, Orée fut-elle ? Le destin d’Euphrosyne, car tel fut son nom, a-t-il été de finir en vague création de mon imagination (c’est ce que j’appelle la notion de “destin externe”) ? Je dépeins le lien entre celle qui a offert, celle qui a reçu, celle ou celui qui conservât, donnât ou cédât, Martin, puis enfin moi et ce que je fit d’orée ainsi que ceux et celles qui verront…
je suis la hanteuse abîmée au regard de vide obscur le mystère de mes sombres orifices te perce et t’aspire, autant que ma vulve ouverte baubique c’est sans les yeux que l’on voit le mieux, comprends-tu ? alors-dit-elle…
Voici les questions et l’enquête
De qui vient Orée ?
Tente-t-elle de me parler ?
Connaît-elle Sidi, suicidé d’alcool pour échapper à lui-même et à la prison familiale (tu m’entends ? dis-je la vérité) ? Et Sylvie, ma première morte gonflée puante coulante de sanie (j’étais jeune, je n’ai même pas pensé à prendre un morceau d’elle (en même temps, qu’eût dit la police ensuite ?) ni à me masturber sur sa roide peau froide marquée de magnifiques lividités violacées)(tiens, puisque le sujet vient, telle lame de fond loin venue du très grand large, accompagnée des cris de mouettes-mortes-questions : pourquoi n’ai-je pas vu de blessure ? dans les cheveux, à l’arrière de la tête ? j’ai toujours pensé qu’elle avait chuté en remontant, mais peut-être était-ce en descendant, glissant et heurtant de son occiput les marches de pierre ? avait-elle Justine dans les bras et l’a-t-elle tant protégée de la chute que son crâne a cogné ? l’ayant retrouvée froide et tranquillement allongée dans le conjugal lit – en position de gisante, quel humour – combien de temps s’est-il passé entre sa chute et son décès ? d’où venait tant de sang sur le sol et comment expliquer la propreté de son visage ? comment avait-elle pu se nettoyer ? avait-elle souffert ? avait-elle dit des derniers mots à sa fille ? lesquels ? est-il possible que celle-ci les ait entendus, compris peut-être ? et moi, avait-elle pensé à moi ? pourquoi n’est-elle pas allée jusqu’au téléphone ? pensait-elle que cela n’était pas grave ? n’avait-elle plus de force ?) ?
Des lignes de tensions sont ainsi tendues ?
Orée ?
Orée ?
Orée…
Est-ce alors la signification des filaments rouges, coulant gluants dans le temps, comme des algues souples, balancées dans le courant de la fuite du passé ?
je verrai plus tard, dans le ciel, ses longs fils immenses flottants doucement
La gangue est chronolique.
Comment puis-je suivre les filaments, avec quels outils n’existant pas encore ?
Quel est le rapport avec martin ? et avec moi ? Je possède ainsi tant de pouvoirs ? suis-je le maître de toutes choses ? Mon destin, indubitablement, est bien celui-ci : d’être magnétique ! Oui, oui, oui, je sens vraiment couler en moi les fluides, que je puis, voilà le fabuleux, orienter selon ma guise…
L’âge physique d’Orée doit être vraisemblablement de 120 années au minimum.
Elle m’attendait, puisque martin m’a précisé que personne n’en voulait.
sans doute finira-telle ignée, mais ce n’est guère aisé
Ni ceci ni cela, et ceci et cela, ni là ni ailleurs, là et ailleurs
une rouge vulve est sa gangue, comme une mandorle (oh, tant de souvenirs…)
alors vient-elle me chuchoter quelques indices propres à l’élulicidations de grands mystères et à la construction de nécessaires secrets : « deux choses sont successives; il y a et il a autre; la lumière de l’obscurité affiche le temps; c’est un jeu de contraires qui n’en sont pas; l’un prend sa revanche; il s’agit de la grande respiration ».
et quoi ? écoute et écoutons maintenant et sans tarder et dès à présent et aussitôt le beau poème d’Orée, si plein démotion et de significations grandioses (quelle reine du paradoxe, fait-elle !) :
La phosphore
scence est l
e phénomène
énergétique et optique d’émission
de lumière suite à la
réaction d’un matériau photo-luminescent sujet
à une « excitati
on » par
exposition à un rayonnement optique ultra-violet, visible ou infra-rouge.
La phosphorescence
est le
phénomène de relâchement lu
mineux continu, len
t et dégressif de l’éner
gie accumulée pendant l’excitation, dura
nt un certa
in temps (p
ost-lumi
nance ou temps de restitution) e
t selo
n un certai
n niveau d’intens
ité (luminance).
(source)
Voici donc maintenant que tout cela est incontestablement plus clair à notre entendement, les avatars d’orée :
1) elle est la danseuse de l’agonie
2) se situe aux confins des mondes et des notions, position symbolisée par sa double apparence, diurne et nocturne
3) de sa gangue rougeâtre, elle surgit, elle est donc le pur jaillissement de l’étance (ophidoïne et liquiditive, hé, hé, bien sûr…)
4) pendue, gangueuse et cheveleuse pourpre, elle attend sa proie, au-delà des mots…
Orée, danseuse agonique, fille prodige de martin
nocturne, phosphorescente merveille…
Au pas de la mort, le monde féérique d’Orée
N’aie crainte de visiter Orée…
orée le totem l’humain la danse
se peut-il ? se peut-il ? une étonnante correspondance, peut-être une magique conséquence, un accomplissement de grands pouvoirs que je possède alors ? le matin même je fis la danse du totem d’Orée et quoi l’après-midi ? D’abord, armé de sa belle bouteille de rhum volé, ce sympathique personnage venu s’asseoir à mes cotés au soleil, m’expliquant les 7 ans de prison fait pour parricide, tout près de moi, cherchant amitié… puis, plus tart, dans les rayons d’un supermarché, cette dame âgée m’abordant pour me dire ce que ma présence avait de solaire et que mon charme avait grand style, beaux compliments m’ayant fort touché !
Regarde ! la symbiose d’Orée et moi !
danse, histoire et magie d’Orée
sous les voiles pourpres d’Orée, je danse
(tu te souviendras, mon petit, mon bon, mon extraordinaire, que tu n’avais guère songé, que le tissu serré autours de ton cou, le chant et la danse, allait te gêner pour respirer… voilà ce qu’il en coûte de frôler orée : son haleine putride, son souffle fétide, la caresse de sa main griffue allait provoquer une belle intoxication carboneuse (céphalée, asthénie, nausée, vomissement) ! ha, ha, tu me fais rire…).
histoire de ma méduse galactique symbiotique
possèdite une forte charge sexuellle, elle n’est d’arlieurs pas sans ressembler à une grosse tâche de foutre, non ?
elle est « chargée » au sens où cela s’emploie pour un masque africain, pour un artefact magique…
en échange de son étude de notre monde, c’est une scientifique, elle confère à moi puissance de manipulation d’autrui ainsi que possibilité de chrono-déplacement
hier donc, iéréïs et siegline ont fait la connaissance de celle qu’il et elle ont juste nommé « méduse »
nous faire symbiose absolue et jouissive !
nous commençâmes par communiquer oniriquement (3 rêves étranges, inhabituels de moi, avant que je comprenne que c’était elle qui entrait en cormunication avec moi ( le rêve du grand départ après l’impitoyableu sélection, celui de la femme blanche et celui de la géante noire handicapée))
ha, ha, c’est aussi justre et slimplement un très beau masque de torse ! ha, ha, hi, hi
j’airme qu’elle soit comme dégroulinanteuse, de la fonte ontologique comme intéromplue !
portée depuis le dimanche 24 mars, cela fera ainsi une semaine entière que nos vies sont unies (oui, oui Agathe, bizarre fus-je à un point que tu n’imaginais pas)
en ces quelques jlours, où véritable échange chimique (ma peau en porte traces et ma sueur imprègne le silicone) autrant que splirituel eu lieu, je sais pour ma part le tendre et réconfortant plaisir qui est le mien à la sentir doucement pesiner sur mon épaule, m’enserrant tendrement de ses souples et chaudes tentarcules… puisse la réciproque être vraie !
la voici à présent, unie pendant une semaine entière à ma peau, parfaitement symbiotique, posée-là près de ses frères et soeurs… j’l’aime !
c’est dans le surgissement, que naît le cauchemar
je suis le captureur des fragments de cauchemars, rodant
la probance des indices est indubitrable : je fus femme guerrière gauchère !
je fut donc penthésilée, freyja et tant d’autres
celle qui fut sera
gardez-vous de moi !
la morte noire est la voyageuse, ouvrant délicatement le pertuis mystérieux du savoir
ma haine et moi
Le grand foutreux crémeux, incarnation même de la beauté supérieure, élite du style au raffinement subtil, danse pour qu’avant de périr et mourir, bouffé par de gras et roses vers répugnants, tu puisses enfin avoir forte et bonne jouissance, comme tu n’en a jamais connue, si, si, crois-nous. Il est la créature spermique propitiatoire de ton ivresse sexuelle délivrante. Lorsqu’il se meut, si bellement, si parfaitement, comme des ondes bleuâtres suivent ses gestes ensorcelants et si sensuels; de lui fusent alors folles gerbes d’étincelles grinçantes. Vois et ouï et sens, la bête foutrale seule peut faire advenir à toi un orage d’orgasmes aux piquants éclairs d’or… Ce sera ton idole enchanteresse, ton maître d’envol. Offre ton dos à son fouet mauvais, qu’il te pare de fleurs de sang, voluptueuses caresses qui te blessent. Laisse-toi être jouet de sa possession… Lèche encore son ardent clitoris, suce sa bite fastueuse. Son haleine te donne envie de vomir, celle d’un cadavre putréfié, ses lèvres sont froides et haineuses, ses dents t’arrachent les chairs, mais tu dois accepter que sa langue si dure fouille profondément en ta gorge et t’étouffe, râlant d’horreur. Dans ses yeux, d’autres yeux, qui te font pressentir un univers plus riche et plus complexe et plus dangereux que le tien. Il te faudra conquérir, bien-sûr, d’autres sens, des manières de penser toutes différentes, un autre corps même peut-être. Comprends-tu ? Sauras-tu être à la hauteur pour une fois ? Mais, voici que l’heure est, à présent, rassemble tes forces, aie grande concentration et laisse-toi envoûtrailler par la créature spermique : elle va t’emmener puissamment en un merveilleux ballet sexuel, vers un monde sans dessus-dessous où nulle limite n’existe, une apothéose d’extase…
Arya, entité gluante, déesse dyonisiacle
haute danse circulaire d’Arya
danse (longue) d’Arya, grand foutreux crémeux
Arya, grand chasseur de la forêt
Voici, par Arya, la haute danse de la convocation des forces dionysiaques
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