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je suis la morte blanche
tant et tant d’heurinnes à te rêver, moi…
hommage morte blanche irina ionesco…
de la vulveuse de sa blessure pourpre, sourdalliait un sang luminescent et sale; son odeurle était artroce déjà. je donnerais de féroceux cloups de brottes dans son ventre, provoquissant sa jouissance ultime et perverse… ému, j’en lâche un pet sirlencieux, qui en fait est une chiure coulante venant subtilement maculer mon fond de culottine. joie.
Quelque chose est sans être, entre les deux en vérité. L’intangible certainement dans une limbe bleutée diaphane. D’abord, oui, oui, je ne suis qu’à l’état gazeux, puis arrive presque comme une manière de condensation de mon corps. Mais restera bien entendu la délicate fragmentation, le beau discontinu, rien jamais ne sera là entier, je n’aurai ainsi nul visage, seul du vide et l’intérieur de mon crâne cervelle et sang et os, en un inquiétant dégradé de réalité. J’oscille et scintille et prend doucement forme, spectral un instant encore, flou et mouvant toujours. C’est l’évanescence pornographique… Je suis la morte blanche, viens lécher mes veines noires. Je suis la morte blanche, viens lécher mes veines noires. Sens-tu mon infinie présence, sous toutes choses, fatale séductrice ontologique ? (de la vulveuse de sa blessure pourpre, sourdalliait un sang luminescent et sale; son odeurle était artroce déjà. je donnerais de féroceux cloups de brottes dans son ventre, provoquissant sa jouissance ultime et perverse… ému, j’en lâche un pet sirlencieux, qui en fait est une chiure coulante venant subtilement maculer mon fond de culottine. joie). Aussitôt, vite, vite, j’agggrippe le fil barbelé rouillé, l’entoure très serré autour de ma poitrine, j’ai mal et peur, j’adore. Mes trois organes génitaux mâles se tendent, avides… Alors, la plus longue de mes verges se courbe, telle trompe énamourée, vient frôler mon bouquet de clitoris et fait exploser mon désir. Ahhhhh… Je halète, impatient de me baiser moi-même. Mes mains brûlantes caressent ensuite mes deux autres bites, tandis que celle du centre s’enfonce puissamment dans mon vagin humide et suppliant, mmmmmm… Je gémis de folie sexuelle. La putréfaction de nos chairs me donnent une sensuelle envie de vomir et de m’oindre de ceci ensuite. D’un fuselé doigt maladif et tremblant, j’étale la sanie mortuaire suintant de tes commissures. Oh, que j’aime la volupté du malaise nauséeux ! Pince-moi les tétons, déchire et lacère, me dis-je moi-même à moi-même, sois chienne et brutal. Ouï mes sadiques fantasmes, que la douleur soit le souffle du plaisir. Je me gifle encore et encore, excité de sentir ma tête ballotter sur l’oreiller sale. Puis les lèvres noires de ma bouche affriolante se gonflent, prennent douces couleurs, et accueillent le plus gros de mes glands, gluant de précum, tendu d’excitation. Je me suce comme diablesse. Entre mes quatres gros seins sensibles, vient se former un second vagin, que ma longue langue velue part aussitôt explorer. Longs et forts coups de reins mécaniques, muscles tendus emplis de chaude virilité, je te baise profond, salope. Et nos mains griffues malaxent nos fesses voluptueuses et trouent nos anus enchanteurs, caressant nos prostates fastueuses. Mes sept orgasmes sont simultanés et me font hurler !
il aurait sans doute parlé d’énergies, mais quel belleuse et étonnanteuse chose, que la morte blanche, aux noires veines, paraisse au moment même ou mon ami, mon frère, perde sa vie… Elle vint donc, par moi, le ravir.
oui, michel b. ?
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noul lavons reçul … Ɉǝɿɔǝƨ nυ ǝbǝƨƨoq ǝiv ǝɈυoɈ ˎlǝʜɔim nod nom ˎlǝʜɔiM la slemaine dernièrle dl’un vilsiteur: cettle delmande reprod(uitinée in exte)nso :
« bonjour Maître efficace ! je me nommeuse Michel B., dit aussi Pti’Mich, ou Ptite’Mogette, ourl même encore parfoil Michped. ⸮ ǝivlγƨ ǝbnɒmǝb ƨiɒvɒ’l ǝɈ ǝmmoɔ ˎniɒɿɿɒq ǝb ǝloɿ noɈ ǝmυƨƨɒ ƨiɒmɒį υɈ ƨɒ’n ioυpɿυoq J’ai, je (vous en supplie) merveilleux Maître, désespérément et si tlendrement besoin dle votre aidle, de vos lumières venules de l’infini bleuté, de (votre, ah oui), tlant et tlant, clairvoyantineuse et généreuse sagesse. Alors, voilà, ⸮ ǝυpiϱoloɈno ǝɔnǝlɒvidmɒ noɈ Ɉǝ voilà, faut ben que j’me lance et que pour une flois je n’ai craintle ! Ainsi donlc, j’avions depluis pleu prassé le mitlan dle mla vlie, et, oui, oui, jle conlfesse, me sens predu colmme un pletit garçon ! N e rliez ploint, je vous supplie de cela… Moi a pleur de la (suite. Revlez-moi, siouplait, à moi tel agneau offlert, telle viergle effarouchée et coulante, ce que seront les) autres parts du glateau de la vie de moil ! Serai-je encore mlalade ? Continuerai-je à prendre du gras charmant ? ⸮ ʇioƨ ǝɿoɔnǝ ƨiɒvɒ »į ǝυp ǝɔɿɒq ǝϱɿoϱ ɒɈ ƨυoƨ υɒǝɈυoɔ nυ ƨim ƨiɒvɒ’į bnɒυp ˎƨnǝivυoƨ ǝɈ υɈ Où en sont mes amours ? Qul’en sera-til de ma création llllittéraire ? Eviterai-je l’impuis(sance sexu)elle ? Et mles ondulationnements, perdureront-ils ? Reverrai-je un jlour mon touchant quéré ? et piton ? suis-je moi-même le rêve de piton ? ǝiv ɒl ɿυoq imɒ et mon jerry adorlé ? je pleure d »elmotion, juste de penser à mon ami que je visitine si pleu. Mais, mais, vois moi je halète comme chiennasse devant vlous, vlous mon soleil ! Oh, maître délicieusement chéri, moi conjure vous de répondre moi… je me tords (sur le sol, gémissant et parfumé) en votre honneur. ⸮ ƨǝɈniɒɿɔ ƨǝɈ ƨiɿqmoɔ zǝƨƨɒ ǝį-ƨiɒ croyez-moi, la bave et le foutre m’en coule ! Je vous prille, Maître infini qui êtes mon absolu, de bien vouloir acceptiner mes plusss respectleueuses sarlutations . Merci encore e(t encore et d’avlance. Votre touljours dév)oué et subordlonné et imlpréssionné, Michl’ ».
Réponses pour (toi), allors, mich’-le-rond :
Mais, oui, oui, nous croulinons sous le succès: Erouane Bricolineux, aussi également donc, nous a demandité de tirailliner les carteuses pour lui-même également et aussi ! voiçli donc, mon bon :
toi aussi, un tiragement de carteuse ? alors, laisse un message au 0783712701, réponstine assurée et grltuiteuse, bien entendu de même
kleros trismégiste, je suis
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ya aussi kleros trismégiste et sa femme….
Chant, danse, penssation agricole-ontologiques : plusieurs, mal à l’aise, rotatifiant. Je suis dénué de clitoris. faut-il arroser l’immatériel ?
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suis-je, sommes-nous, sont-elles, ils, ça, alors afro-prussien ?
vᛟißi préßeߣtemeߣt quelqueußeß rᛟtᛟ-ßcèߣes… beąu puißßąnt extrąᛟrdiߣąire, eßt !
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ąlᛟrß, bᛟߣ ,lą, fąut beߣ du mątérieleux, d’ąbᛟrd uߣ cąßque de réąlité ąugmeߣtątrivée, ą pᛟßer devąߣt yeux, puiß uߣ ąutre, ąuditivißąߣt, ą iߣßtrąlliߣer sur leß ᛟreilleß et eߣfiߣ, pᛟur que exprérieߣße sᛟit plètecᛟߣ, uߣe ßubßtrąߣce ᛟlfąctive ᛟu gußtąttive grißąߣte (mᛟi, ᛟu ߣᛟuß ᛟu eux ᛟu çą, utiliße du pᛟpperß, maiß tᛟute ąultre drᛟguąߣte ou ąlcᛟᛟl ᛟu que ßąiß-je ferąąą ąffąire extrąᛟrdiߣąire !). eߣßuite, yą pu ką vißiᛟߣߣąlißer chąquߣe deß imągeß, sur téléphᛟߣߣeur miß dąߣß crąßque, vᛟir mêmeuße ßąߣß, ąvec le ßᛟߣ de ßᛟߣ chᛟix priß et ląߣciߣé ßépąrémeߣt… çą frąit des rᛟtᛟ-ßcèߣeß.
ߣ est la lettre « n » de l’alphabet n’ko
ß est la lettre « s » de l’alphabet germanique
ą est la lettre « a » de l’alphabet polonais
ᛟ est la lettre « o » de l’ancien alphabet runique viking
hommages lettriesque à mes origines…
là est le son des premières roto-scènes (du salon) :
roto-scèneuse première du salon :
roto-scènnnnne deuxième du salon :
du salon roto-scène trois :
extrait d’une roto-scène :
roto-scène de la chambre :
roto-scène du miroir à mémoire :
le son de cette roto-scène :
roto-scène du charnier sexuel …
le son de la roto-scène charniereuse-sexuellllle :
thréorie de la fragmentique !
estampillage 758
il y a ou pas les tournances fragmentique de kleros dans sa quadri-partité, puis de la mode, de la beauté pure…
Où est m on vagin écartelé et peut-être légèrement bleuté, un peu translucide ? Oùr est ma hure afframée ? Où sont mes vérins hydrauliques et fascinants ? Où slont mes serres voraces ? Où slont enkore mes gros seins alléchants si sensibles ? Où est mon transistor puissant ? Et mes pétales, ha, ha, si délicats, où quelques gouttes de pluie subsistent, tremblantes au vent sucré ? Et ma grosse bite inépuisable, d’acier et de ciment ? Dis-moi…
un fragment de l’étance est rotatif-spcéculaire
ça peut se nommer des rôtôsses, si qu’on veut, par example… un rôtôsse est un objet, donk, fragmentique rotatifiant.
mon métier est d’actionner périodiquement le rotosse afin, d’une part, de diffuser le liant ontologique permetttant à l’étance de subsister sans discontinuité (elle ne fond jamais) et, d’une seconde part, de mélanger cette étance même pour que le multiple en lui-mêlme perdure (le changement, le temps même, est toujours possible même). ce n’est pas même une sinécure ! et quand je pensîte que l’équilibre du monde repose sur mes heureusement incommensurablement robustes épaulottes ! vous n’avez pas intérêt à ce que moi se détourne ou même oubliationne ! on verra même moi (enfin nous ou elles ou le reste), dans son costrume de rôtôsseur…
ha, ha, ou même, c’est aut’ chose ‘core, comme un ptit pertuis ontologique dans l’étance, une ouverture fragmentique !!!!!!
mon couteau fragmentique, à la lame si acéréïnnée, découpe des tranches d’étance à peu près spéculairisantes
se glissera même un e mandorle, en fait, même (même) d’autres que une ! je suis le mandorlier …
Ais-je ou aurais-je seulement et enfin un sens nouveau ou enfui, pour sentir subtrilement glisser sur moi, telllle ombre lumineuse d’un fugace rapace, ce que reflète le spéculaire rotatifiant ? Ce moment où apparaît mon corps noir dans le fragment de temps délimité par le mlouvement du miroir, alors que ma vue est obturée-paupière… Un frisson jouisseur peut-être, sexueil et morteil concomitamment, tressaillement brûlant, ma peau marquant ? Une sombrebifide langueperverse et puanteléchante mon sang ensoleillépourri ?
ha, ha, ha, d’autres encore fabluleux pouvoirs (kleros) de moi… !!!!
quoi ? 757 iéme atricle
voilà, alors, c’est la tamblouille, comme dans une marmiteuse de fonte troute noiraude: ce qu’est kleros ? euh, ben, je crois qu’il s’agit d’une entrité fragmentique et liquiditive, ni un, ni une, ni murltiple, ou alors si, ni chose, ni êtreux, ni homme, ni femmmmme, ou alors si. combien de parties pour former un tout ? comme fragment, kleros est éternellement et jlamais, il est intermittent ou permanarent. Je serai, oui, oui, ton mâle parfait, je serai ta salope toujours humide, o klérausse, vien, vien, vien malaxer mes quatre seins, leurs tétons noirs pointent tous vers toi, avides d’être pincés. Klérausse, Ma chatte envoûtante et gluante s’ouvre à toi, ivre de désir, ses lèvres enflammées sont vibrantes de désir. Huuuum, huuuum, huuuum.. Je veux qu’ensuite, quand tu l’auras bien lécher, tu t’enfournes sur ma grosse bite dressée. Klérausse, sois ma chienne rouge, sois celui qui me pourfend. Viens rendre fous mes clitoris, serres mes trois grosses couilles dans ta main perverse. Mes yeux aguicheurs de lubricité vous convoitent, beaux mâles tendus et bandants. Les griffes de tes pattes antérieures se plantent dans mes chairs purulentes. Contemple nos culs offerts, toutes, nous voulons être défoncées. J’aime venir murmurer à tes oreilles dressées que ton énorme bite puante va me baiser brutalement, miaou. Tes aisselles ne sont pas rasées, putain aux voluptueux cheveux noirs, ma langue avide en fouaille les profondeurs. Je ne cesse de me masturber, obsédé tout le temps par le sexe. Fous-moi deux doigts dans le cul, vicieuse ! Branle mon clito sauvage, enculé ! Maintenant, salope, salope, salope, tu dois prendre nos pénis fabuleux jusqu’au tréfonds de ta gorge, je veux, oui, oui, te faire étouffer. Pendant que tu me baises si fort, si profondément, ma queue épineuse vient lacérer ton dos. Klérausse, Dis-moi que tu es juste un trou à baiser. Oui, oui, oui, oui, je suis un trou, baise-moi. les kléroliens ou klérogluos, sont les attaches subsistantes lorsqu’une chose est détachée d’elle-même, ils sont bien entrendu légèrement bleutés, de texture comme caoutchouteuse et se perçoivent par le vingt-septième sens. le goupil fragmentique mesure 11 mètres et 30 secondes. le lien imaginaire-ontologique du caneton fragmentique part de son nid et va jusqu’à mon oreille glauche, un peu comme un long filament de sperme, bleuté cela va de soi… kleros peut porter une perruque et faire un défilé, elle peut aussi clignoter de l’intérieur, stratique; elle veille sur mon sommeil; je suis aussi kleros dans son habit d’or. 0 rien Rien car des fois, y a rien le fragment suppose, met en valeur le rien, le finissement, la rupture, l’inattendu, la discontinuité 1,57 train Dans le magma sonore, est-il concevable d’ouir les personnes vivantes transportées, leur énergie vitale ? 3,20 rien 3,30 éolienne et danse kaléido descopique de kleros le kaléîdoscope est l’image même du fragmentique 7,5 rien 7,55 la parole de kleros electra et danse simple 12, 07 début siegline qui est kleros se masturbe interruption à 13 kleros stroboscopique et kleros phosphorescente interruption à 15 kleros défile 19 début du chant de O interruption à 19 kleros défile encore avec perruque interruption à 22 kleros stroboscopique couleur inversée interruption à 24 kleros solarisée 27 fin l’autre version dure 1 heure quatorze minutes, est est beeeeellllllllle ce merveilleux film est visible, comment ? où ? laisser des interruptions… la fragmentation est toute chose !
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vlersion plus fragmentationnée, si brellle !
fragmentation du commentaire du film de kleros le fragmentique
la mort dans ma chambre
756, article
une morte phosphorescenteuse se balance au bout d’un ressort, arnimée par un électrik mécanisme pilotré par la voix; elle est sexuelle et sordide. la tête est restaillée un an en forêt, c’est une guerrière… toi, tu étais encore vivant, à cette époque…
suidée et moime, n’est beaux très !
avec chant de la mort…
j’égrène la danse de la mort…
ha, ha, le frôlement, ce n’est pas passé loin….
sentis-tu, ma petite, le vent fétide et sexuel venu des antres de la mort ?
extrrait du catalorgue de mes fabuleux pouvoirs
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moi, peux sluperposer temps et éspace, moi peux découprer tranches, moi peux jongliner présence et absence, noumènes et phénomènes, clo et ouvert, mouvementetimmobrilité, tout ce genre de choseuses… trop fastoche pour nous !
la mlême journaye, diverss rencontrinements du mlême corps sans organe…