moi et la chrono-trinité

Elle, voici les noms qui sont les miens, leur, votre, tiens…

  • Multiple : l’une et l’autre représentations
  • Ni là ni ailleurs, plusieurs et seule
  • Comme un souvenir atroce à demi effacé, gris de nausée 
  • O toi dont les noirs gémissements envoûtent mon esprit perdu, tes senteurs sont comme filandreux nuages aux caresses mortelles
  • Hipparchia et son mariage de chien
  • Lilith
  • Dois-je m’interroger sur la spécularité du présent ?
  • Chhhhhhhhhhhhhhhh hhhhhhhhhhhhhhhhhhhh hhhh chhh chhhhhhhhhhhhhh
  • Mami wata, Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami wata Mami 
  • Nue et assise, je me pisse dessus et danse en frottant mon vagin rosé dans la flaque odorante d’urine ambrée, ivre squamate déchéante…
  • Les volutes immobiles d’une chair desséchée, comme emplie de fleurs rouges pas encore digérées, ce sont les tripes de velours charmant, cruellement odorantes et répugnantes, ce sont les beaux intérieurs de la jeune morte fauchée
  • Chuis la kère !
  • 07 83 71 27 01
  • La hyène noire court dans la poussière bleue et maladive
  • Tenebra, une créature visqueuse, son vagin est d’un noir profond, fuligineux
  • L’arbre-mort et la femme-serpent
  • Celle qui contracte la densité du temps de qui l’approche, tel récif magnétique
  • Acérées, mes dents d’email noir ont déchiquetées ton cou à la chair offerte, tes râles se sont éteints en sanglots sanglants. Oh, que sparagmos soit !
  • 47 degré 13 de la latitude Nord et 1 degré 32 de longitude ouest «47°13’N 1°32W» 
  • Le rouge c’est la mort
  • L’une alors est le temps du passé, l’autre ainsi vient du futur, et la dernière est le présent, chacunes vivantes, ne cessant paroles, gestes et volontés.
  • Goûte mon acide cyprine, alors seras-tu ubiquitaire, superposant aisément à ton présent, une image du passé et une autre de ton futur, dans un ballet du diable de folle présence
  • Penthésilée: “Viens maintenant, doux ami, viens, mets-toi à mes pieds. Approche encore – mais plus près ! tout près de moi. Tu n’as pas peur de moi ? Tu ne me hais pas, moi qui ai su te vaincre ? Dis-moi : as-tu peur de celle qui t’as jeté dans la poussière ?
    Achille (à ses pieds) : Comme les fleurs d’un rayon de soleil.
    Kleist, Penthésilée, scène XV Traduction Julien Gracq, édition José Corti
  • La chaleur de la vitesse du temps fait fondre ma chair diaphane en une jouissance à vomir…
  • Il est en mon pouvoir de mélanger toutes choses, dit-elle
  • Ha, ha, ha, le sais-tu ? je suis la fatale mariée qui te mènera aux sombres décombres fabuleux de ce que tu seras !

oui, je suis toujours le maître des temps !

cacorama des trois et délire orgiaque

cacorama des trois (danse nu)

cacorama des trois (caco ensemble)

caco-vision, je suis un infini

il s’agit du gouffre du présent…

l’ouvertrure à autrui, mode estrivale superble, ou la vie secrète de ma quéquette…

un sloupçon d’exhibitionnisme ludique mlais quand-mêmeux légèrement malsain (bah si !) ——- la subtrile joie de plouvoir contemplier ma quéquette et mes tétons dans leurs vies dissimurlées harbituelement, au qrotidien ——— la plus fine compréhension des notions de dedans et dehors, d’intimité et d’extimité, des limites de la bienséance aussi ——— le doux mélange du caché que l’on ne voit et du montré qui est apparence, du clos-fermé et de l’ouvert-béant ——— le charmant goût de la provotication ——– l’application de mes talents de parfait créateur de mode ——- mon destin daseinique de mannequin superbe ——— ma gentillesse envers autrui, allant jusqu’à offrir gratruitement contemplation de la beauté de mes organes somptueux et secrets (tiens, étronnamment, je n’ai jamais songeaillé à me prostituer… pourtrant, le succès utété indréniable !) ——– la nécessitré de faire la estivale mode —— l’auto-application de la censure (si, ici, mais pas ailleurs, pleutre tièdasse que je suis !) ——– l’excitation preversineuse de jouer avec mes génitales parties et la part la plus sensibline de ouam (à ce propose, faudra que je pense à me branlotter en pareils atours…contempler le sperme giclant (anh, anh, anh) sur le plastique et voir mes tétons comme malaxinés par otrui, qui serait une créature femelleuse torride aux ongles noirs… vite…) —— saluer au ssagepas valie export, c’est importinant —— choquiner avec délectration —— plicouniser le strichement en le bilouant fortement ! —- sans oublier, dans la vridéo, mes quarlités absolument indéniabiliseuses de pur et talentueux musicien (où ksa fait, dans film, comme des orages sexuels sexualisateurs) ! ——



kleros est le grand défileur flavescent…

AAAAAAAAAAAAAAAHHHH, mode,
AAAAAAHHHHHHHHHHHHHH, superbe et raffinationné, kleros….
AAAAHH, stringou, croptopou, sandalou,
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH, anté-chrono-spatial?
AAH, discrète et subtrile flavescence d’un élégant tissu (toto-solde),
AHHHHHHHHHHHHH, orgasme !
AH, un vomissement esthétique,
AAAAAHHHHH

l’anté-aéropage de kleros flavescents avec chants d’orgasmes caco-défilant

anté-aéropage de kleros flavescents caco-défilant

kleros flavescent caco-défilant

après tant de jaunissement, kleros eu besoin de changler: il s’adjugina le bleu, de prusse, bien entendru !

merveille ! il porti ensuite tendre étincelante subtilité …

l’exuviation fabuleuse de kleros

bleue, habituée au phénomène, elle vit l’exuvie de kleros à terre

habituée au phénomène, elle vit l’exuvie de kleros à terre

habituées aux phénomènes, elles virent les exuvies des kleros à terre

la pop mort

lentement habituée au phénomène, elle vit l’exuvie de kleros à terre

multiple et hagarde, habituée au phénomène, elle vit l’exuvie de kleros à terre

rouge, habituée au phénomène, elle vit l’exuvie de kleros à terre

cauchemar d’exuvie

une exuvie ratée…

kleros est algue rouge, ontolorgicle…

un cacorama est une cacophonie avec des images…

kleros le rouge est légèrement à coté du temps et de l’espace, oui…

dans ce beau cacorama, n’y a éric piton, rone, mich’bob’, rosalie ma mie, moi (nous, ça, elle, eux, etc), pi l’ reste…

grouillez à présent, répugnants et charmants vers noirs, ventres repus…