Il y a, oui, oui, si, si, tu vas voir, le masquemétal de loup (ainsi précisément constitué et confectionné et portinaillé que l’énergie lupusique se concentre très très exactement à 47,5 likus sur le diencéphale, démultipliant ainsi et alors les facultés sexuelles du porteur), la peau du loup (rendant qui-la-porte fort et puissamment bestialement follement dérchaîné), également encore le chant du loup (en ouïs-tu la démesure envoûtante ainsi que la parfaite beauté ?), c’est Ljoudune assurément…
les, préanbrule, flétrissures et la griffure de Ljoudune à la peau bronzée…
pour moi plus tard : te souviens-tu de ta bague de suidé odorante ? tu l »avais confectionnée à partir d’un os récupéré en repas de famille, puis consciencieusement, tous les jours, tu y vaporisais des mauvais parfums périmés, puant littéralement…
Elle ou ils ou eux. ou quoi ? sont assises, peut-être, dans une pièce emplie de lentes fumées. bleutées ondulinanteuses, c’est plutôt étrange, hi, hi… De longs cheveux blancs d’antan, des visages vides et maladifs, des robes arachnéennes. pleines de poussière, on ne peut cependant que les distinguer, le flou étant très fort. C’est de toutes façons leurs premiers avatars avant que le clignotement d’apparence ne commence. Les murs, comme de molles et douces chairs roses, semblent comme tremblionnier légèrement, sur un lourd son grave et hypnotique, légèrement saccadé, provoquant effroi et malaise. Si l’on pouvait les troucher, sans doute seraient-ils soupleux et gluants ? Sur une des parois, accroché un portrait de moi. L’énergie qui se dégagine du lieu est magnétiquement attirante, envie irrépressible est de s’y fondre, de s’y dissoudriner même. Une forme vivante ? Vaginaleuse ? Au pied des parleuses, cependant, rampent de spectrales créatures atrophiées, blanchâtres et diaphanes, et de leurs gorges sourdent des borborygmes incompréhensibles ainsi que des cris infiniment aigus, lacérant atrocement les tympans… Leur odeur de pourriture porte immédiatement et gravement au cœur. Seules les griffes noires et acérées de leurs mains paraissent réelles. Ni gros foetus ni vieux cadavres, elles attendent.
L’entretien :
Elle à moi : «Alors on parle, maintenant, des questions et des réponses. Allez. A l’attaque ! Te sens-tu ridicule, parfois ?».
Ljoudune à ça(soupirinant d’un petit air charmant, battant ses longs cils sur ses yeux smaragdins si troublants, croisant ses belles cuisses sur ses sexes parfumés de musc) : «Souvent, souvent, malheureusement… ».
Toi à quelque chose : «Là, par exemple, avec tes attributs (le phallus corné, les triples nibards et le masque vulvaire), tu voulais exprimailler une idée praticulire ?». Nous : «Euh… sans droute l’hyper-sexualisation, la dissolution identitaire, le jeu existenciel, le franchissement maladif des limites, l’observation de soi-même, des trucs comme ça, quoi… On pourrais ptet’ même dire qu’il s’agit de porter l’ivresse sur troute chosine, l’ondulation, le flou, le mérlange, la joie, la désinhibition ontologique… Nous ne sommes pas, d’arlieurs, sans penses à Trakl : “qu’importe, si, pris de vin, tu laisses choir ta tête dans l’égout” (putain, c’est puissant, ça, hein, sidi kaba ?».
Rien à Jérôme : «oui, il me semble comprendre ! Idée être vraiment passionnante ! L’hybris comme couleur de vie… Moi dit bravo ! Tu, par ailleurs, joues blocou avec le sentiment de post-hontissement glotesque, égralement ?».
Toi et Siegline : «Effectivement , moi s’y complait avec ravissement, mmmmm! Mais on peut aussi, si tu permets, y ajoutiner comme une tentatrive d’exister au moment même de la fécondation anormale de l’aorgique par l’organique, c’est là, comme tu le vois, une approche hölderlinienne, somme toute, y compris par la destiné finale de celui-ci (la tour de Tübingen). Explicitation : un voyage dans les brumes, une promenade entre les monts contraires, une errance légèrine, dans les parages limbiques de ce mouvement, ivre ».
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?»
Ljoudune : «Oui ?»
Ljoudune : «Ljoudune ?» Ljoudune : «Oui ?»
Un ancien ami (mort) : (faisant doderiner sa grosse tête ronde): «Ha, ha, ha, tru me flais ririner, sarlope !».
Elles(la bave vicieuse sur toutes leurs lèvres, haletantes et les tétons pointillants) : «Merci ! Mmmm, ahhhh, ouiiiii, ohhh».
Mais, mais, les voici cessant un instrant leur discussion et leur conversation !
Matérialisation alors au dessus de leurs têtes d’une situation mentale, incarnation onirique, morphéeïsme (en grec ancien Μορφεύς / Morpheús, de μορφή / morphế, « forme (tiens, tiens, on retrouve donc ici quelque chose de l’opposition chère à Hyperion) ») est, dans la mythologie grecque, une divinité des rêves) : les autres font cercles, l’une est allongée, chair blanche, cuisses écartées, toison peu fournie, vulve ouverte. De ses doigts, c’est pur prodige, retrousse ses chairs, tire sur ses nymphes jusque sous ses seins !, son sexe ainsi se distend d’un fort diamètre et reste ainsi, béant, vision de l’intérieur de son ventre – les boyaux, le sang -, où poussent foultidude d’embryons de bites. Elles bougent et s ’agitent en tous sens telles poilues obsédées. Puis sorties, se nourrissent par leur dessous spongieux de ce qu’elles trouvent sur leur passage, laissant comme bave de traces. Extraordinairement vives et vor
Ljoudune ou autre : «Puis-je exprimer maintenant quelques-uns de mes fantasmes ? Ouiiiiiiiii, alors les voici, tu dois les écouter attrentivlement ! :
Je voudrais que ta langue s’étire sur de longs centimètres, vingt-trois par exemple, et coule languissament au travers de ma gorge vicieuses ;
je voudrais que tes tentacules s’insinuent, sensuels et sifflants, dans tous mes orifices ;
ah oui, oui, oui, je voudrais aussi celui-ci : des bords de ma vulve très humide, pointillent de fortes tentacules ; en leurs hystériques mouvements, s’en échappent comme une voluptueuse et musquée poudre d’or, venant parsemer les chairs noires et souples de nos corps ; venant happer tes reins pendant que tu t’enfonces en moi ; l’une très forte, pénètre ton bel anus et te fait gémiriter et trésailliriner infiniment de plaisir, p’tite salope !
que des bites me poussent partout et qu’elles soient simultanément branlées ;
que mon orgasme me fasse vomir une pâte spermatique épaisse ;
tu sais, avec le superbe couteau de précision que nous avons, je veux tracer sur ton torse, puis au creux de tes reins, de longues estafilades sur ta peau, puis lécher avidement le sang mordoré coulant;
je te regarde, avec vice, te masturbrer, tes yeux trop coupant ne cessent de me frixer, il est ainsi convenu qu’à l’acmé de ton orglasme, je vienne méchamment marquer ta peau du fer chauffé à blanc d’un couteau très aiguisé, créant mélange parfait de plaisir et de douleur, union nauséeuse des odeurs du sperme et du derme brûlé… (ma raison, confier peux je, vacille légèrement, mais pas plus cependant, à certain souvenir) puis je viendrai oindre ta blessure encore grésillante de ta semence onctueuse. La forme de la marque est symbole puissant, c’est, du triangle : les contraires liés et ce qui leur échappe, également, le discontinu dans le continu. Pfiou, ça claque…».
Nous(en choeur) : «hmmmm, hmmmm, hmmmmmmmm, je harlète, je mouillotte et blande dru ! encore un autre frantasm ?».
Ljoudune(faisant magiquement apparaître devant nos yeux émervreillés comme un hologramme d’une partouze déchaînée) : «Alors oui ! avec joie et ivrognerie ! J’énonce d’bort, pour commencer et en préambrule, un principe, qui est qu’à toute scène réelle peut se superposiller une scène imaginaire, venant en quelque manière contaminer la première, fortement ou faiblement, en vrai ou juste dans ma tête. Moi dit maintenant, être la comaste ultime ! dans un geste synecdoquique absolu, je suis la jouissance du komos (incroyable et rarissime et rafraîchissant (tiens, ça me donne soif), nulle référence à la religion dans cet acte-situation-concept-état-pratique ancienne grecqueuse) en entier, dermuliplié, mais aussi celle de tous, individuellement ! nous arrivions, chantant et dansant, nous étrions enchevêtrement de corps, pure ivresse sexuelle ! je suis un long et puissant et multiple et siimultané orgasme ! ».
Moi (ou toi) : «ohhhh, grand signe d’excitation intense chez moi, des ondes se diffusent vers mes tétons ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !».
Cependant, quoi,que?Lesvoiciàprésentetsoudainementseprenantlamain,serapprochantl’unedel’autredansunfroissementmagnétique,s’éloignantdenoussuruncheminilluminité,se chuchotin ant pr essa nt es et c hui nta n tes p ar ole s, sa ns qu’onne pui sse di sti ngu er, parl’éloignements’aggravant, qu e c es p re m i ers m ots : «vie n s, vie n s, pr êt es -mo i t a do u c e o re i lle, j e v ais à pré se nt te ré véler …………………… …………………… ……………………… …………… ……………………………… …………………………… ……………….. ……………. ………………. ………… …………………………………… . . . ………………………………….. ………………… …………………………………….. ……………….. ………. ………….. …………. …………………….. ……………………. ……………………. ………….. …………………………………………………………………. ……………….. ……………………………………………………………………………………………. . . . . . ……………………… ……………………. . . . …….. ….. ……………………………………………………. . ……………………… ……………. ……………………….. ………………………………………………… ……………….. …………….. ………………………. ………….. ……………………………….. ……………………… ……………………. ……………… …………. …………… . …………………………….. ………………….. …………… ……………. …….. …….. …………………………………. ……………….. ….. …… ……………………………………………………………………………… ….. …… .Oh, voilà que soidainement tout d’un coup, un coup de vent métaphysique vient porter et faire virevolter, telles feuilles mortes automnales, provisoirement leurs dires fragmentaires à nous et jusque dans nos esgourdeuses ! La blancheur de leurs parôôôles semble celles d’un antique marbre, aussi très-veiné de rouge sang, sans que l’on puisse cependant savoir si ce sang est dans la pierre ou coulant dessus… : « …… …… ……. …. ………………. …… …. ..je dois et peux même à présent te parliner de mes soeurs. …….. …… …….comment sont-elles ? et bien, leur corps est de ……….. ……. ….forme ovoîde, pourvu de multiples longues tentacules se terminant en filaments coupants. leur couleur est céruléenne. certaines ne font que quelques centimètres, petites toutes petites, quand d’autreuses occupent l’horizon en son entier. elles sont par exemple flottantes, ou posées délicatement sur l’épaule d’un quelconque, ou à la fois ici et ailleurs, dans le temps et l’espace. quand elles se meuvent, une poussière d’or les suit. elles produisent continuellement un très long son grave et ……………………… ……. ……. … ……. ……. ……. ……….… ……. …….. …….. ….. ……. …………. … …………… …….. entre céphalopodes benthiques et cnidaires, ceux qui les percoivent ressentent comme une subtile crispation de l’étance (ophidoïne et liquiditive, bien-sûr, ha, ha, ha), un tremblement ontologicle glacial ……………………. . . . …….. ….. ……………………………………………………. . ……………………… ……………. ………………………..comme une gluance …….. ………………………………………………… ……………….. …………….. ………………………. bleues, te dis-je, bleues ………….. ……………………………….. ……………………… ……………………. ……………… …………. …………… . …………………………….. ………………….. …………… ……………. …….. …….. …………………………………. ……………….. ….. …… ……………………………………………………………………………… ….. …… …. ….. … . . . ……. …… ……. …… …. . . …….. ….. ……………………………………………………. . ……………………… ……………. ……………………….. ………………………………………………… ……………….. …………….. ………………………. ………….. ……………………………….. ……………………… ……………………. ……………… …………. …………… . …………………………….. ………………….. …………… ……………. …….. …….. …………………………………. ……………….. ….. …… ……………………………………………………………………………… ….. …… cela, devras-tu le garder au plus profond de ton coeur… ». Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, les voici de rtrour ! Enfin !
Ljoudune à nous : «Je suis celle qui possède trois seins, vois comme ils veulent être tordus et pincés ! Je suis , pour toi, deux belles paires de grosses couilles très pleines (de tes doigts agiles et pervers, presse-les tendrement, et même peux-tu y passer la langue) ! Je suis aussi et encore la femme aux triples bites, viens me prénétré, je jouirais ensuite, par les envoutantes vapeurs, un sperme bleu sur tes yeux chatoyants…».
Moi : «J’ai turné ton joli cul, et quand je te prends comme chienne, mes cornes acérées raclent ta douce peau désirante. Tu tournes alors, oui, oui, ta jolie tête vers moi, ta brune et blonde chevelure somptueuse balaie ton dos mystérieux et j’aperçois la vulve de ton front, emplie de cyprine, au clitoris dressé comme fou; tu me chuchote de te baiser plus fort».
Moi(chuchotinant de ma voix pleine de sexe sauvage): «baise-moi plus fort et encore !!!!».
KOMATO
La loko:
Ŝi aŭ ili aŭ ili. aŭ kio ? sidas, eble, en ĉambro plena de malrapida fumo. bluaj ondoj, estas iom strange, hi, hi… Longaj blankaj haroj de la pasinta tempo, malplenaj kaj malsanaj vizaĝoj, araneaj roboj. plenaj de polvo ni tamen povas nur distingi ilin, la malklareco estas tre forta. Ĉi tio estas iliaj unuaj avataroj ĉiukaze antaŭ ol la apero ekbrilo komenciĝis. La muroj, kiel mola kaj mola rozkolora karno, ŝajnas kiel eta tremado, sur peza tomba kaj hipnota sono, iomete saka, provokanta timon kaj maltrankvilon. Se vi povus trovi ilin, ili verŝajne estus flekseblaj kaj gluiĝemaj? Sur unu el la muroj pendas portreto de mi. La energio, kiu eliras el la loko, estas magnete alloga, la nepremebla deziro estas fandi en ĝi, eĉ dissolviĝi en ĝi. Ĉu vivanta formo? Vagina? Ĉe la piedoj de la parolantoj rampas tamen spektraj atrofiitaj estaĵoj, blankecaj kaj diafanaj, kaj el iliaj gorĝoj leviĝas nekompreneblaj bruadoj same kiel senfine altaj krioj, terure disŝirante la timpanojn… Ilia putra odoro tuj kaj serioze trafas la koron. Nur la nigraj, akraj ungegoj de iliaj manoj ŝajnas realaj. Nek grandaj fetoj nek malnovaj kadavroj, ili atendas.
La intervjuo:
Ŝi al mi « Do ni parolas nun pri demandoj kaj respondoj. Venu. Ataki ! Ĉu vi sentas vin foje ridinda?
Ljoudune al tio(ĝemante kun ĉarma aereto, batante siajn longajn okulharojn sur ŝiajn tiel maltrankvilajn smaragdinajn okulojn, krucante ŝiajn belajn femurojn sur ŝiaj mosk-odoraj genitaloj) « Ofte, ofte, bedaŭrinde… ».
Vi havas ion : « Tie, ekzemple, per viaj atributoj (la korneca faluso, la trioblaj paruoj kaj la vulva masko), vi volis esprimi praktikan ideon? ». Ni : « Uh… sendube la hipersekseco, la dissolvo de identeco, la ekzisteca ludo, la nesana transpaso de limoj, la observado de si mem, tiaj aferoj, kio… Ni eĉ povus diri, ke temas pri porti ebrion. pri ĉiu afero, la ondulado, la malklariĝo, la miksaĵo, la ĝojo, la ontologia desinhibicio… Ni cetere ne estas sen pensi pri Trakl: « kio gravas, se, ebrie, vi lasas vian kapon fali en la kloako” (diable, tio estas potenca, ĉu, sidi kaba?).
Nenio al Jerome « Jes, mi ŝajnas kompreni! Ideo estu vere ekscita! Hubris kiel la koloro de vivo… Moi diras bravo! Ĉu vi cetere ludas blokou kun la sento de gloteska post-honto, ankaŭ?
Vi kaj Siegline : “Efektive, mi ĝojigas ĝin, mmmmm! Sed ni povas ankaŭ, se vi permesas, aldoni al ĝi kiel provon ekzisti en la momento mem de fekundigo.NEKUTIMA de la aorgiko per la organiko, ĉi tio estas, kiel vi povas vidi, Hölderlina aliro, finfine, inkluzive de la fina destino de ĉi tiu (la turo de Tübingen). Klarigo: vojaĝo en la nebuloj, promenado inter kontraŭaj montoj, malpeza vagado, en la limbika ĉirkaŭaĵo de tiu ĉi movado, ebria”.
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune: « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune: « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? »
Ljoudune : « Jes? »
Ljoudune : « Ljoudune? » Ljoudune : « Jes? »
Malnova amiko (mortinta) :(skuante sian grandan rondan kapon): «Ha, ha, ha, tru me flais ririner, sarlope!».
Ili(la malica bavo sur la tuta lipoj, anhelante kaj cicoj pikantaj) Kompato! Mmmm, ahhhh, ouiiiiii, ohhh».
Sed, sed, jen ili haltigas por momento sian diskuton kaj sian konversacion!
Materiiĝo do super iliaj kapoj de mensa situacio, sonĝeca enkarniĝo, morfeismo (en malnovgreka Μορφεύς / Morpheús, el μορφή / morphế, « formo (nu, nu, ĉi tie ni trovas ion de la opozicio kara al Hiperiono ) ») estas, en Greka mitologio, dieco de sonĝoj): la aliaj faras cirklojn, unu estas longforma, blanka karno, femuroj disigitaj, maldensa lano, vulvo malfermita. Per la fingroj, ĝi estas pura mirinfano, rulu lian karnon, tiru liajn nimfojnĝis ŝiaj mamoj !, lia peniso tiel etendiĝas je granda diametro kaj restas tiel, gapante, vizio de la interno de lia ventro – la intestoj, la sango -, kie kreskas amaso da embrioj de kokoj. Ili moviĝas kaj ŝanceliĝas en ĉiuj direktoj kiel harplenaj obseditaj. Tiam eksteren, manĝu tra iliaj spongecaj malsupraj flankoj pri tio, kion ili trovas sur sia vojo, lasante spurojn de ŝlimo. Eksterordinare viveca kaj vor
Ljoudune aŭ alia : “Ĉu mi nun povas esprimi iujn miajn fantaziojn? Jaaaaah, do jen ili, vi devas atente aŭskulti ilin! :
Mi ŝatus, ke via lango etendiĝu sur longaj centimetroj, dudek tri ekzemple, kaj fluu languide tra mia malica gorĝo;
Mi ŝatus, ke viaj tentakloj ensinuu sin, malĉastajn kaj siblantajn, en ĉiujn miajn oraĵojn;
ah jes, jes, jes, mi ŝatus ankaŭ ĉi tiun: la randoj de mia tre malseka vulvo, punktas fortajn tentaklojn; en siaj histeriaj movoj, eskapas kiel volupta kaj moska pulvoro da oro, venanta aspergi la nigran kaj supan karnon de niaj korpoj; venante por kapti viajn renojn dum vi sinkas en mi; unu tre forta, penetras vian belan anuson kaj igas vin ĝemi kaj eksciti pro senfina plezuro, malĉastulino!
ke kokoj puŝas min ĉien kaj ke ili estas samtempe ŝerĉataj;
ke mia orgasmo igas min vomi dikan sperman paston;
vi scias, per la bonega precizeca tranĉilo, kiun ni havas, mi volas spuri sur via torso, poste en la malsupro de via dorso, longajn tranĉojn sur via haŭto, poste avide leki la fluantan bronzan sangon;
Mi rigardas vin, kun malvirto, masturbas, viaj tro akraj okuloj daŭre timigas min, estas tiel konsentite, ke ĉe la kulmino de via orgasmo, mi venas malbone marki vian haŭton per la blanke varmega fero de tre varma tranĉilo. akrigita, kreanta la perfektan miksaĵon de plezuro kaj doloro, naŭza kuniĝo de la odoroj de spermo kaj bruligita dermo… (mia kialo, ĉu mi povas konfidi, iomete ŝanceliĝas, sed ne pli, tamen, en certaj memoroj) tiam mi venos al sxmiru vian vundon ankoraux bruantan per via krema semo. La formo de la marko estas potenca simbolo, tio estas, de la triangulo: la ligitaj maloj kaj kio eskapas al ili, ankaŭ, la malkontinua en la kontinua. Pfiou, ĝi klakas … « .
Ni(en refrenkoruso) : « hmmmm, hmmmm, hmmmmmmmm, mi harlett, mi malsekiĝas kaj mola! ankoraŭ alia frantasmo?».
Ljoudune(magie farante aperi antaŭ niaj mirigitaj okuloj kiel hologramo de furioza orgio) : « Do jes! kun ĝojo kaj ebrieco! Mi konstatas unue, por komenci kaj en la preambulo, principon, kiu estas, ke ĉiu reala sceno povas supermeti al imaga sceno, venante iel polui la unuan, forte aŭ malforte, en la reala vivo aŭ nur en mia kapo. . Mi diras nun, estu la plej bona komato! en absoluta sinekdokia gesto, mi estas la ĝuo de komo (nekredebla kaj ege malofta kaj refreŝiga (he, ĝi soifas min), neniu referenco al religio en tiu ĉi akto-situacio-koncepto-ŝtato-praktiko malnovgreka) plene, dermulipliigita. , sed ankaŭ tiu de ĉiuj, individue! ni alvenis, kantante kaj dancante, ni estis korpaj implikoj, pura seksa ebrieco! mi estas longa kaj potenca kaj multoblaj kaj samtempe orgasmo ! ».
mi aŭ vi) :“ohhhh, bonega signo de intensa ekscito en mi, ondoj disvastiĝas al miaj cicoj! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !”.
Tamen, kio? distanco plimalboniĝos, ĉi tiuj unuaj vortoj: “Venu, venu, dolĉan orelon al mi, mi nun malkaŝos vin ……………………………… …………………… ……… ……………… …………… …………………………… …………………………… …………… ….. ……………. ………………. ……………………………………………………… . . . …………………………………………….. ……………………………………………………….. ……………….. …………. ………….. …………. …………………….. ………………………………. ……………………. ………….. …………………………………………………………………. ……………….. ……………………………………………………………………………………………………………. . . . . . ……………………… ……………………………. . . . …….. ….. ………………………………………………………. . ……………………………… ……………. ………………………………….. …………………………………………………………… ……………….. …………….. …………… …………. ………….. ………………………………………….. ………………………………………………. …………………………. ……………. …………………………….. …………………………….. …………… ……………. …….. …….. ……………………………………………. ……………….. ….. ……………………………………………………………………………………… ….. …… .Ho , subite subite, blovo de metafizika vento venas porti kaj kirli, kiel aŭtunaj mortintaj folioj, provizore iliajn fragmentajn deklarojn al ni kaj eĉ en nia miregigita! La blankeco de iliaj parôôôles ŝajnas tiu de antikva marmoro, ankaŭ tre vejnita de sangoruĝa, sen ke tamen eblas scii ĉu tiu ĉi sango estas en la ŝtono aŭ fluas sur ĝi…:«…… …… ……. …. ………………. …… …. ..Mi devas kaj povas eĉ nun paroli kun vi pri miaj fratinoj.…….. …… …….komentoĈu ili ? nu, ilia korpo estas de ……….. ……. ….ovoforma formo, provizita per multoblaj longaj tentaklojfiniĝantaj per filamentojakra. ilia koloro estas cerulea. iuj estas nur kelkaj centimetroj, tre malgrandaj, dum aliajokupas la tutan horizonton. ili estas ekzemple flosantaj,aŭ demandisdelikate sur ies ŝultro,aŭ ambaŭ ĉi tie kaj aliloke, en tempo kaj spaco. kiam ili moviĝas,polvo el oro sekvas ilin. iliproduktisenĉese tre longa mallaŭta sono kaj ……………………… ……. ……. … ……. ……. ……. ……….… ……. …….. …….. ….. ……. …………. ……………… ……..inter bentaj kaj knidaraj cefalopodoj, tiuj kiuj ilin perceptassentikielsubtilaektremantaforto (ofidoino kaj likvidaĵo, kompreneble, ha, ha,ha), glacia ontologia tremo ………………………………. . . . …….. ….. ………………………………………………………. . ……………………………… ……………. ………………………..kiel ŝlimo…….. ………………………………………………… ……………….. …………….. …………………………………………….blua, mi diras al vi, blua ………….. ………………………………………….. ………………………………………………. ……………… …………. …………… . …………………………….. …………………………….. …………… ……………. …….. …….. ……………………………………………. ……………….. ….. ………………………………………………………………………………………… ….. …… …. ….. … . . . ……. …… ……. …… …. . . …….. ….. ………………………………………………………. . ……………………………… ……………. ………………………………….. …………………………………………………………… ……………….. …………….. …………… …………. ………….. ………………………………………….. ………………………………………………. ……………… …………. …………… . …………………………….. …………………………….. …………… ……………. …….. …….. ……………………………………………. ……………….. ….. …………………………………………………………………………………………………… ….. ……ĉi tion, ĉu vi konservus ĝin en la profundo de via koro… ».Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, jen ili revenis! Fine!
Ljoudune al ni « Mi estas tiu kun tri buboj, vidu kiel ili volas esti torditaj kaj pinĉitaj! » Mi estas, por vi, du belaj paroj da tre plenaj grandaj pilkoj (per viaj lertaj kaj perversaj fingroj, premu ilin tenere, kaj vi eĉ povas trapasi vian langon)! Mi estas ankaŭ kaj ankoraŭ la virino kun la trioblaj kokoj, venu antaŭenirinte min, mi tiam ĝuos, per la allogaj vaporoj, bluan spermon sur viaj brilantaj okuloj…”.
Moi : “Mi turnis vian dolĉan azenon, kaj kiam mi prenas vin kiel hundon, miaj akraj kornoj skrapas vian molan deziron haŭton. Vi tiam turnas vin, jes, jes, via bela kapo al mi, via pompa bruna kaj blonda hararo balaas vian misteran dorson kaj mi vidas la vulvon sur via frunto, plena de amsuko, kun la klitoro staranta kiel freneza; vi flustras al mi, ke vi pli forte fiku vin”.
Moi(flustrante en mia voĉo plena de sovaĝa sekso): “fiku min pli kaj pli!!!!”.
Ljoudune en toute splendeur, tellement, tellement excitrante !
par ses atours merveilleux, cuiresque et ophidien et chaînique, Ljoudune concentre l’énergie sexuelle…
Ljoudune est si beau portant œil d’os du suidé ! grand voir ! merveielle être !
la poitrine est là, en bord de chemin, quasi-vivante, point de miction
Ljoudune est l’ensexualeuse. La giclance spermatique, vermeille, de Ljoudune sur iéréïs. Ljoudune-masque dévoile et exacerbosse l’identitanité sexuelleuse. Pfff, c’est hermaphroditement fait de bois, d’animaux divers, de quadruple vision (les oculaires protubérances), d’une bucco-vulve, d’un carmin phallus, d’une sombre pilosirté. C’est grand mélange, dis-donc ! So, das ist ein masque de pouvoir très-fort ! Son effet m’a, moi confesse oui, emmenaillé très loin, firnalement… Encore Ljoudune, qui est donc tout ? Ca demande : “ se peutre-t-l qu’il existencille forme de mémoire de la temporelisante substance ?” Elle une autreuse qurestion, qui est bien plus mysterineuse : « charge quelle treutons peuvent levailler, jouir moi ? » Ljoudune donne et confère force de s’abreuviller à la pure salope de naissance même de la source trouble libidineuse. Gicle et gonfle, ça… Alors, c’est troublant, les anciennes recettes alchirmiques me sont donc fort fécondineuses ? Quoi ? Quoi ? vouloir que ma vie soit un orgasme permanent… Maintenant, description de moi et de ce que je preux fairiner, hop : je possède, tel foutue pieuvre, longs et nombreux appendices sexuels, outre ma biette, cela va de soi, bleus et visqueux et extensibles sur une quinzaine de mètres, capables d’aller très intimement toucher quiconque s’offrille à moa ! Ils peuvent aller fouailler bouche, tripotiner clitoris, jouer avec anus ou caresser hanches, tout est possible, ils s’insèrent et lacèrent où bon semble à moa… ils peuvent soit sortir du haut de mon crâne, s’entrouvrant alors comme vulve humide, soit être extensionnement dardant et s’étirant de mes yeux, doigts, tétons ou langue… une fois la cible atteiente, il peuvent conserver leur forme ophidoïne (et liquiditive, ha, ha, ha) soit prendre autonomie et se coller comme racine apparente du lierre sur et SOUS la peau ! imagine, leurs attouchements peuvent être faits à même l’organe ! ach, que de sensations démultiplionnées ! Je peux en outre et de plus, par mes lèvres comme crachat de postillons (c’est le même bruit), projeter un nuage gazeux de sexoline, venant envellopiner ma proie et brouleverser son enérgie sexuelleuse. Cela occasionne forts troubles invisible et s’avèreuse très rigolo à observer ! ha, ha, ha… La personne visée est alors cernée par une infinité de points bleus crépitants et voletants en tous sens autours d’elle, comme atomes bavant et hurlant de désir ! C’est si beau et jouissif ! bravo moi ! la bête sexuelle, le magicien du cul ! Ainsi, voici Ljoudune-iéréïs-siegline asperginées de liqueur spermatique, si beaux, si purs… De son ventre vulvaire, pouvaient à tout instant giclationner les filaments tentaculaires sexuels. elles sont représentées couvertes de la sécrétion sexualisante, prenant peu à peu possession de la peau de leur proie, jusqu’à en faire pu objet orgasmatique. (nos lectures changent, un peu de psychologie, j’en ai froid dans le dos ety l’anus !)
ma malsanité me confond nous-même… c’est le grand mélange, la dilution… apparritionnement de Ljoudune numérotaillée de 0 à 1000, qui est paléolithiqueuse, donc. elle se meut continûment et à son gré au sein et le long de son historicité est-ce un guerrier vulvique, un chevalier vulval ? le signe y est, en tous cas !- le signe secret de la mandorlienne vagineuse ça sait jouer de sa multivocité… les trois hauts-symboles : diurne-mort, nocturne électriquetrique et nocturne phosphorescenteux
Ljoudune est, entre autres, une substance évolutive et fragmentique multi-incarnative. C’est oscillanteuse entre dualités. Ljoudune possède une vulve buccale érubescente ou une bouche vulvaire ou un naseau vulvique. Peut-être même pour la taquiner pourrait-on l’appeller «la vagineuse» ? Ça peut rire : «ha, ha, ha, ha !». Ça peut aussi gémiriner hyper-sexuellement, tel haute-salope : «Mmmm, ahhh, ouiiii, mmmm, haaaa…». Sa présence est un mystère de chairâtre plissée, une promesse aventureuse de la dissimulation d’orifice et d’humidification. De ses pleines lèvres rubicondes émanent senteurs affolantes et nauséeuses ; filaments de cyprine acide. Écoute, écoute, elle peut même imitrer le loup, soyeuse et grise thérianthrope : «ahouuuuuuuuuu, ahouuuu». Ljoudune, mais là, delmande en susurant érotiquement, mais quand-même un peu mécharmment, comme elle jouerait de ses féroces ongles noirs sur une peau avide de sanglantes griffures : Ce qui sera a-t-il un poids ontologique et historique ? Est-il déjà là ? Quel est l’équivalent temporel, en mot donc, du «presque rien» ? Continuité, discontinuité, tu es toujours obsédé par cela ? Existe-t-il une sorte de gourlet d’étranglementation du presque-présent et plus-encore-futur ? Il semble que la conscience ne chuchote ni ne crie ? Existe-t-il une chimie des liens entre plersonnes, au sens par exemple de longs filaments étirables et verdâtreux ? Adviendra-t-il temps où choix pourra s’opérer tout les matins de son enveloppe physique ? Pourra-t-on incarner toutes choses et êtres en tous temps ? Suis-je ce qui sera ? Où slont et que font les dix mille grénérations me précédaninant ? Peut-on les entendre quand on bouge les bras, par exemple ? Se peut-il que magie soit ? Ou bien est-ce ta saloperie de sensibilité qui se joue aimablement de tézigue ? Le voltage de ta conscience peut-il être trop élevé, à te faire hurlier ? Un archétype découvert ou créé provoque-t-il comme des vagues à la surface de la conscience, de l’intériorité ? Si l’on écarte doucement les lèvres de pierre de l’enfer, apparait dessous un magma rougeoyant de serpents de fleu, un cœur mauvais, s’en échappe-t-il des lentes vapeurs nauséabondes et verdâtres (qui t’ont provoquée mauvaise nuit et tristes et tourmentée mâtinée, apeuré certainement fus-tu) ? ah ah ah ah ahhhhhhhhhh ah ah ah aha ahhhahahahahahahhhhhhh a h a a a
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