où l’on narrera aventurines de masque d’or, de marbre noir, d’autel des abîmes, de l’infinie fuite ontologique, du livre de l’obscur et de tant d’autres merveilles…

bon, là, ce jourron, c’est numéro sept-cent-trente-quatre, du dimanche vingt septembre deux-miile-vingt, à neuf heure treize.



























































































ha, ha, tu ris encore, vieilleuse bête, en songeantinant à ton épique retrour avec ta marbleuse plaque si liourde…























































































































































































































































































































































dicave ! il ou eux ou ça ou elles tente de franchir une barrière ontologique !!! incroyable et si attendrissant !










ptet’ ben même qu’il est passé de l’aut’ croté, maintenalant, ce narvalo :



















izanami est ambivalente et complexieuse créaturine…

le sept-cent-trente-troisième arrrttttikl’, en ce 1 primidi de sansculotides 228…










ha, ha, ha diverses visions de l’intérieur, de l’extérieur, du numérique, du réel, du férminin, du masrulin, de l’illusion, de la continuité et de sa sœur la discontinuité, et ainsi de suite…










la luminescente izanami magnétise les âmes, telles anophèles venant s’y perdre; il en émane de fortes odeurs de mort, de sexe, d’armour…














































iéréïs ou autre est le pluricéphale

c’est sept-cent-trente deux article, ça c’est joli, ça c’est jour 24, mois 7 et année 4718 du chinois calendrier, dont, tiens-toi bien, le signe est …. LE RAT !!!!! ça est puissamment extraordinaire (tu te souviendras que hier, j’ai plaisamment arboré une parure lobulaire queue de rat et que ce jour, maintenant, je vais portailliner une boucle patte de rat !!!!!!!!










quelque chose est, peut-être elle ou lui ou ça ou nous-moi ou nous-vous ou vous-moi ou vous …










du coup, cette chose-là danse:



















c’est très mulitplicitété, n’est-ce pas ?










ça porte une parure lobulaire queue de rat, c’est émouvinamment beau !



















Les évanescentes spectatrices

c’est le sept-cent-trente-et-unième tircla, en datationnement du vingt-quatre quartidi de fructidor deux-cent-vingt-huit… ka ? kesta ? pov’ narvalo, c’est juste début septembre vingt !










thème un : c’est sûr, on arrive à la fin de quelque chose…
thème deux :
thème trois :
thème quatre :
ben, elles le regardent, donnant chacune de la paroline, pendant qu’il est enfermé comme un con…

thème cinq, je te laisse remplir :


























kraaa cte’ kazion, eul si bo iéréîs portite (((en sus du reste de ses stiolbés) supreble ornement lobulaire en craneu de chélonien !!!!! lai bro ! tant et tant ! bandite et mouillave !



















regarde, rgarde encore, s’il te plaît, allez, allez, un chtio ptit’ effort encore, y en a une, d’évanescente spectatrice, qui s’est mise sous le pont que t’aimasse tant (en outreusement, zadore, ça fait plein de belles couleurs vives, et puis c’est propre, tiens ça change, pour une fois, du coup, j’en (ou nous, cela va de soi et est habituel) mets plein, t(ça fait comme grande rasade de vodka en fin d’après-midi, qui coule en apportant soulagement et prémices d’ivresse ou comme éjaculation après kek jours d’abstinence…)el bouquet printanieux, allez) :




























le fabuleux titan porte l’infini, si aisément et bellement… c’est trop farciloche, roup iul ! pi’ y chantasse si ben !

bartikle nurméro 729 du 21 primidi de fructidor 228



















ma bite, merveilleux et puissinant vecteur d’infini…



















le chant dans l’eau, est beau










Le mot technique en grec ancien pour désigner fellation ou cunnilingus est arrêtopoeîn, qui signifie « faire des choses que l’on ne peut pas nommer »

rlâââ fin plaîtinne moi brocou: « on pourrait presque être tenté, du coup, de voir dans la fellation l’acte sexuel par excellence chez les stoïciens, et même l’acte par excellence d’entrée en résonance avec le cosmos à travers la composition du logos spermatikos, la pratique de la fellation devenant ainsi une des manières de faire de la philosophie ». VITE VITE VITE

ça vien d’ là et c’est frabruleux: https://www.persee.fr/doc/raipr_0033-9075_2011_num_179_1_4332



















la repentance et l’éclaircie

cracharticle 729, de quand? bah de octidi du 8 fructidor 228, soit fin août…










Un (1) moi que les autres n’entendent plus guère (mais sa voix reste forte et assurée, sûre, bien sûr, de la crainte nauséeuse qu’elle inspire), légèrement translucide et verdâtre même, il est vrai, dit, seul dans une immense pièce très sombre et vide et grise, où l’écho accroît la piquance de la solitude et semble murmuration de mort:
« Je n’ai certainement jamais jamais rien compris, oui. La déflagration d’énergie d’amourance protectative consécutive à son précoce décès (2) fut incroncevable par le moi du moi de l’époque, lequel perdura donc trentaine d’annuitées… Certainement nous a t elle ainsi ardemment protéginé, sous forme ou autre. Est-il ainsi porssible que je n’ai jamais osé imaginier ses derniers instants, arc-boutiné aveugle ou égroïstement même sur la nécessité de poursuivre et aussi d’erlever notre filllle ? Quelles peuvent être, quelles furtent les dernières pensées d’une jeune maman agronisante (3)? Des broutilles, son enfant, son mec qui ne l’aimait plus ? Il y avait des traînées de sang dans l’escalier de pierre, dans le couloir également, mais elle s’est couchée propre. Le lendemain, elle avait gonflé, de la sanie coulait de sa bouche, elle était raide et puante, si horriblement puante ». Sa voix s’amenuise à présent tandis que sa forme redevient spectrale, légèrement bleutée et bientôt enfouie sous les hardes souvenireuses.
Ben nous, skon dit, ça oui, c’est qu’ le regard s’ perd aisément dans la kaléidoscopique existence, et pi qu’il en dérobe (j’avions toujours bleaucoup craint la dérobade de corps (•), esprit (••) ou choses (•••), à c’ propos) les jambiottes, devant l’étance en général et pi aussi dans les ch’mins rares et abandonnés, le long desquels poussent, si bleues, des fleurs-de-vie voluptueuses et pi encore, des minuscules champignons noirs et luisants, attentifs surtout, kon sait même pas où ky vont, ces sentiers-là, des fois. Ça fait komm si kon était juste un bout d’ bois qui dérive dans l’eau, finalement… Ki s’ cogne, ki s’ tourne, ki prend pluie, drôle d’ forme en flot.
(1): pas oubliétinné que fort nombreux sont les mois qui conposent un nous !
(2): tu t’souviens, mimi, mich’ bob’, ne voulait y croire, tu l’as direct envoyé dans la chambre, sa tête a son retour…
(3): faut qu’ j’pense à acheter du café, d’ailleurs. Abdoul. Plaques de chocolat pour J. Assis à lire. Rentre. P’tite grainemie chiante.
(•): littéralement, que je chutinne, que mon équilibre se perdite, particulièrement quand chuis ou nous stommes sur notre bicyclette ; ou quand je conduisais, ce moment si désagréable, où mes (300 à 600 ml d’urine dans la vessie hu(5 à 6 litres de sa(1 litre d(1,5 à 4,5 ml de sperme en éjaculation)e salive/jour)ng en corps)maine) mains sur le vorlant semblaient se détacher de moi et comme appartenir à autrui (« à qui sont mains ? » as-tu demandé un jour à j’ai-oublié-son-nom, servile passagère). Nullement aisé ni rassurant sur route.
(••): bah oui, un peu pareil, mais dans et avec ma tête, par sa cons(toc! toc! Oui, qui est là ? C’est toi, rentre)cience d’une part et sa santé d’autre part.
(•••): ha, ha, c’est vrai : l’absence de discontinuité o n t   o    l o g   i q u euse, zag, zag, zag, ou la persistance spatio-temporelle, m’ont sans cesse bien amusiné…










danse du dérobement des jambes et de la multiplicité des vues et des moi














































Un (1) moi que les autres n’entendent plus guère (mais sa voix reste forte et assurée, sûre, bien sûr, de la crainte nauséeuse qu’elle inspire), légèrement translucide et verdâtre même, il est vrai, dit, seul dans une immense pièce très sombre et vide et grise, où l’écho accroît la piquance de la solitude et semble murmuration de mort:
« Je n’ai certainement jamais jamais rien compris, oui. La déflagration d’énergie d’amourance protectative consécutive à son précoce décès (2) fut incroncevable par le moi du moi de l’époque, lequel perdura donc trentaine d’annuitées… Certainement nous a t elle ainsi ardemment protéginé, sous forme ou autre. Est-il ainsi porssible que je n’ai jamais osé imaginier ses derniers instants, arc-boutiné aveugle ou égroïstement même sur la nécessité de poursuivre et aussi d’erlever notre filllle ? Quelles peuvent être, quelles furtent les dernières pensées d’une jeune maman agronisante (3)? Des broutilles, son enfant, son mec qui ne l’aimait plus ? Il y avait des traînées de sang dans l’escalier de pierre, dans le couloir également, mais elle s’est couchée propre. Le lendemain, elle avait gonflé, de la sanie coulait de sa bouche, elle était raide et puante, si horriblement puante ». Sa voix s’amenuise à présent tandis que sa forme redevient spectrale, légèrement bleutée et bientôt enfouie sous les hardes souvenireuses.
Ben nous, skon dit, ça oui, c’est qu’ le regard s’ perd aisément dans la kaléidoscopique existence, et pi qu’il en dérobe (j’avions toujours bleaucoup craint la dérobade de corps (•), esprit (••) ou choses (•••), à c’ propos) les jambiottes, devant l’étance en général et pi aussi dans les ch’mins rares et abandonnés, le long desquels poussent, si bleues, des fleurs-de-vie voluptueuses et pi encore, des minuscules champignons noirs et luisants, attentifs surtout, kon sait même pas où ky vont, ces sentiers-là, des fois. Ça fait komm si kon était juste un bout d’ bois qui dérive dans l’eau, finalement… Ki s’ cogne, ki s’ tourne, ki prend pluie, drôle d’ forme en flot.
(1): pas oubliétinné que fort nombreux sont les mois qui conposent un nous !
(2): tu t’souviens, mimi, mich’ bob’, ne voulait y croire, tu l’as direct envoyé dans la chambre, sa tête a son retour…
(3): faut qu’ j’pense à acheter du café, d’ailleurs. Abdoul. Plaques de chocolat pour J. Assis à lire. Rentre. P’tite grainemie chiante.
(•): littéralement, que je chutinne, que mon équilibre se perdite, particulièrement quand chuis ou nous stommes sur notre bicyclette ; ou quand je conduisais, ce moment si désagréable, où mes (300 à 600 ml d’urine dans la vessie hu(5 à 6 litres de sa(1 litre d(1,5 à 4,5 ml de sperme en éjaculation)e salive/jour)ng en corps)maine) mains sur le vorlant semblaient se détacher de moi et comme appartenir à autrui (« à qui sont mains ? » as-tu demandé un jour à j’ai-oublié-son-nom, servile passagère). Nullement aisé ni rassurant sur route.
(••): bah oui, un peu pareil, mais dans et avec ma tête, par sa cons(toc! toc! Oui, qui est là ? C’est toi, rentre)cience d’une part et sa santé d’autre part.
(•••): ha, ha, c’est vrai : l’absence de discontinuité o n t   o    l o g   i q u euse, zag, zag, zag, ou la persistance spatio-temporelle, m’ont sans cesse bien amusiné…



























































































izanami est la dame blanche

aaaartquleu 728 du 30 décadi de thermidor 228










Le piège d’izanammai queue est rouge du sang sourdant de la blessure de tes entrailles pourries et si douces, sanctuaire de mon désir atrotcue as gonflée et du pus coule de ta bouche, ton odeur me fait vomir, oui, souviens toi mon amour, tu es mloarltael.a.b.ouffe ta merde, petite fleur azure, les vers vont bientôt grouiller en toi, cacophonie de hargne aveuo,go,lo,e izanami, je danse pour totio !n cul est brillant comme sardine crevée, ivre de putréfaccrtoiiosn-tu que mon sperme puisse se transformer en venind ?e mes griffes, je lacère ton derme fanméa l angue vient doucement fouailler ton vagin blessé, rougeâtre de déliquescjee nt’caei .f..ait venir, pour mieux te tuer



















izanami nous a présentlé himéros, dans carcasse rateuse dissimulé, c’est grande et illuminante découverte pour nousse ! que de chtoses se dévoilinent à présent ! ahhhh, ils soupirôtent d’aise et de spoulagerment !














































c’est tout tendreux, c’est la danse d’izanami et de moi ou nous ou eux:



















quelque chose, ou quelqu’un, ptêt’ moi ou ils ou eux ou elle, va savoir, est tout content de sa rencontre avec izanami et du coup s’est fait parfaitement beau avec ornement lobulaire patte d’oiseau, rgarde, regarde :



















l’amour (comme passage) d’izanami…

hartikl 727 du 14 quartidi de thermidor 228 (ça nous fait du trente-et-un juillet deux mille vingt)










izanami, (elle a révéliné à nous quil yavè quelque chose ensuite l’amour, qui, bah ouich, est donc, alors, un passsage, ha, ha, rit loredana, magnifique et étrange étincelle ambigüe ) après avoir traversé les temps et les univers, se repose en sa couche somptueusineuse










slip de cristal permet de séduire sans coup férir la belle izanami, succombant dès lors illico à tant de charme et de soin de sa personne…










rat, par son ambivalence, est totem d’izanami










irllico, il frit une parure lobulaire en patte de rat ! portarinée avec pure seyance et conférant à il grâce et dérlicatesse…










oh là là, que beau ! c’est danse du rat mort pour izanani !



















il est l’âme perverse de la ville, la cité-homme, rodant tel un rat dans les égrouts de la noireuse conscience :










regarde izanami mon amour, je suis le rat…



















ce merveilleux poème: « je suis le chiroptère… »

articlotant numéro 726 du quartidi 24 messidor 228










EEEEEEnnnnnn taaaaaaaaaaaaaaaaaaaant quuuuuuueeeeeee chiroptère, CHIROP(tu vois?)TÈRE, même (HA, ha, ha,: ça c’est un rirle de moi (ou ?)!), Û (ça me fatig                   ue : lui ou çaaaaaa où ell             es ou eux poires ou tant d’autres chosines, ça dev   ient, putain, infrini…) se se se se se           se se se se sE trouve **** biEn pourvlu (outre sa graussssssssssse bite majestueuse (oucht, ouinnnnnnnnnn, ghhhj, pliou)) de be lllllllll(là, chuis allongé côté dma gonzesse, jlaimaille)llllllllles et Si effricaceuses  trompes zauditives lui (les olives proussaillent o soleil tendrreux et rougeâsttreux, et le sol seMble pierreux – c’est un souve           nir, taré) perrm(elles se développEnt et sont rétract   ables et extren    sibleuses et bleuâtres  et orient     ables et soupleus   euses)ettant d{ecinm, ecinm, alec tneived tnemiarv unE ¥¥•••• blouillie irllisible{? Spemt-oryg el snad sirp sproc not ut-snes}}e captriationner frabuleusem      ent l’espa(enculé de sa race, meS doigts qui tape  nt cet écccrrraaannn de meeeeeerde me dégoû    tent, jva les taillaner à coups de schlasse, ça va saiGna  tiser (j’aimouze voiriner mon san couliner))ce sonore envrillonant (en prlus, querlle beauté, ct’ hommmmmmmme-là (gnnn, quelle heure, merde, faut que j’aillo    nnes bouffailler))(c’est kan même assez Harlucinant, tu trouves pas ?, du cloup,|~~~~~~~~~~|•••• si t’as ennnnnvie, tumlaisse situveux un message au (notaille bien!!!!!! ou pas, skimva aussssti):078371        2701, z, z, z, z, zé, zér, zéro, zéro, zéro zeroseptquatrevingttroissoixanteetonzevingtseptzeroun, quoi? Ben ouic   he! T’es cap’ POV’ BATARD BATARDEUX? Kom d’hab’ nib’! Vazy gajdé!)! Nous saisisationnéïsés sommes, graNdlement…




























en comragnie d’izanami, ça cuisine du poème…










le poème est aussi torche-cul:










cuissonage et ingestlion du poème:










l’éclatement du visage de Û est tel son poèmme




























pour se bien dérmaquiller, rlien de mieux keu l’urine fraîche du matin…










une porno-dérive textuelle










une autreuse porno-dérive :



















Û est l’énoptromancien…

articlounet 725 du primidi 21 messidor 228










Par sa merveiilleusine parure lobulaire spéculaire, Û est l‘énoptromancien fabuleux, provoquotant envie et dépit. Son sang est le sang absolu. Il est donc toutes choses ? Le grand mélange du sang et du sperme permet à Û de diluationner la matière temporellé aidré par son armée de vers de ses sœurs mouches à merde. Quant à la chauve-souris, passant par le pertuis de la parure lobulaire spéculaire, elllle traversinne allègrement les vaisseaux du temps pour rejoindre izanami, divine d’horreur… L’écholocation de la pipistrelle fonctionne avec l’espace mais aussi avec le temps. Elle sait voler entre temps et anti-temps.

Û pratique l’oscillance perceptive, il peut être tant de choses…




























Û (nous relmarquerinons qu’il en son cimetière où c’est qu’il aime bien êltre…), protant ses chrono-binocles spéculaires, est rencontrant le signe (pour l’heure promenant lui-même vers le dix-septième siècleux) et voyant le texte (quant à lui, juste après-demain) apparaitrissant… Que infiniment bo est-ce !










ouï les chants vers izanami:










maintenant, car c’est l’heure, Û va donc, par mélange du sang et du sperme et du chant, opérer le lien vers izanami ! regarde bien, c’est très fantastique :