siegline est fragment mais la tasse de café est tout…

la contagiosité de l’essence tassique
sa répandiation quasi ontrologique et comme flaque d’huilinne
la fictivité ou la réalitré de siegline
je me détlache de moi-même (ou ça-même, ou elle-même ou eux-même), me regarde partirinner et panique violemment de rester seul
les bracelets de celle que j’aurais pu être tintinnabulent contre la table
une fois encore je me noie voluptrueusement et obsessionnellement dans ces histroires de continuité et discontinuité…

mon spéculaire vulval, ma mandorle vagineuse…

siegline, travestie en morte blanche, est la glitzeuse roseuse; sa vulvine est le spéculaire mondal ! la mandorle est le sens suprême, la haute révélatrice de la délicate et inaccessible substantiation… voici la révélation : il n’y a qu’un tout et des apparlences, il n’y a rien d’autre au fond du tlou poilu qu’un reflet décloré.

gniii, gniii, gnii, je suis la forte mêleuse callipygeante, trans/// dévoreuse de chair (clito-sarcophaga carnagia, je bourdonne joyeusement, souriante bien puante), mon chifflon ontologicle, sais-tu ?, efface les appparences, mon ciment esthrétique blâtit, hi, hi, les cléations, mon spéculaire partiel et dégradé-dégradant marlaxe de façon inouïe les tremporalités, il y a même des vagues magnétirques, et, enfin, mon crémart fait l’reste en moulouxant parfraitement l’étance ophidoïne et liquiditive… c’est moi, oui (pleut-être même que mon prénom est Vimala, aujourd’hui, ou ptet’ sinon ausssi Valeska-l’obscène, – qullle chance – avec mon tendreux sein apparent, mes cheveux noués et ma frole stature florte et fièreuse, dansant les yeux clos, moi mouche ?)

mon suidé mort est ridicule

Alors on a mangeaillé ché Maria et Paolo et Siegline, le samedi soir, mais ce ne frut ni l’été ni l’année mille neuf cent quatre vingt quinze, (je l’ai rejointe, ma tshianda, à bicyclette noire, j’adore prendre le bac de la Loire ainsi, avec le froid et brouillard sensuel aux mille tentacules de soie, inquiétantes et voluptueuses) moi, j’avrais hâtre d’aller, pras que cela me fasse si plaisirre, surtout depuis que je suis alcooliquo-abstiniant, je m’ennuie très-très-très vite dans les osirées, moi. Moi voulois surtout y alleriner pour manger le tête du cochon-de-lait (portugaise tradition, savais pas) qu’ils avaient achetée précédement et auparavent, sachant qu’à part je, nulloche n’en voudrait ! Dérlicieux, les yeux croustillants et fondillants, la langue onctueuse, la chair toute tendreuse des joues, l’oreille croquante… J’ai bien sûr ramené Ich gesellte mich zu ihr, meiner Tshianda, auf einem schwarzen Fahrrad, ich liebe es, so mit der Loire-Fähre zu fahren, mit dem kalten und sinnlichen Nebel mit tausend Tentakeln aus Seide, verstörend und wollüstig) Ich würde es hassen, hinzugehen, prs, das macht es mich so glücklich, zumal ich alkoholabstinent bin, langweile ich mich sehr-sehr-sehr schnell in den osirées, mir. Ich wollte vor allem dorthin gehen, um den Kopf des Spanferkels (portugiesische Tradition, wusste nicht) zu essen, den sie früher und früher gekauft hatten, weil ich wusste, dass nulloche es außer mir nicht wollen würde! Köstlich, die knusprigen und schmelzenden Augen, die cremige Zunge, das sehr zarte Fleisch der Wangen, das knusprige Ohr … Natürlich habe ich es zurückgebracht à maison mes reliefs, par cuisson bouillante en eau l’ai-je débrarassée des restes pour n’en conserver à preu près que l’ossement du crâneux blanchâtre d’enfant fragile (six semaines…) et d’la marchoire encore hurlante de peur. (agenouillé à tes côtés moi est, tu me caresses moi avec ta perversité habituelle les tétons, ou alors, je te prends très fort par derrière en claquant tes fesses somptueuses, je me masturbe, cela m’excitrine tant quand tu me regarde avec ces yeux avides de sexe pervers moi. Je ne tarde pas à jouirsurtes cuisses, douces giclades, mon sperme bleu et charmant, goûteuse souillure paradisiaque, coule sur ta sombre peau glabreuse, c’est superble et tu viens lécher le nourrissant liquide, ma salope d’amour à la longue langue ophidoïne de trente centimètres et plus, puis d’un doigt effilé viens-tu caresser et gratter mes belles scarifications, faisant encore perler mon sang maladif et timide). (ÉTPE 1 : Lavz à l’eau le cochon de lait deans et deors, sécez le parfaitement avc un linge prpre. Préchuffez votre four à 220°C. Préparez le cochon en commçant à recuvrir les orelles et la qeue avec du papier aluminium, cela les protégera pendat la cuisson en ler évitan de brler. Salez et poivrez le cocon et diposez- le ans le plat es pattes en l’air et muillez-le un peu avec le mélange eau et vin et enfurnez. TAPE 2 :Pendnt 1 heure, arrsez le cochon rapidment (pour éviter la perdition de caleur) tos les quarts d’here avec le rete de méange eau et vin. Au bsoin, incisez les paries de la pau qui commenc à ‘buller’ pour viter qu’ elles n’éclatent .A bout d’ne heure, la peu doit commencer à dorer. Retournz-le et continuez à l’arroer tout le temps d la cuisson (au bsoin rajoutez de l’eau si vous ave déjà utilié  préparation ea et vin). Au bout d’ heure 45 minutes le cochon est cui .Sa pau bien dorée est coustillante).  Alors quoi ? projet fis-je et effectuation: avec du ciment, une enceintre de musique protable, une lampine et de la peinture de chrome, j’en ai fait une belle sépulture ontologique, Schweinegrab, représentant même l’instant horriblinant même oûche le suidé prassa de vie à trépas, ou même juste après en vérité même, l’extrèmeuse limite supérieure de la ligne du pas-encore-mort et du déjà-plus-vivant. (le concept, bah non, la notion, l’idrée, c’est bien une histoire de discontinuité – il y aura de jolies tulipes coruscantes, penchées et fragiles comme nuques de vierges tentatrices, dont les noires racines plongeront dans des cadavres de femmes en décomposition – et de continuité, ainsi que celaaa me fascinaillait tant adrolescent, il ya des années à plésent de cela, hein, mon petit ? Tu te souvliens ? aurais-tu pu savoir ce que tu deviendrais de si magnifrique et unnnnique? Pfff, oui, si possible eut été, main tendue de moi vers toi ! ‘brasse toi, moi) Sra tombe ainsi faite est parodie et ironicité, vanitationnement et gausserie, en sus d’être fort partique comme ustencil d’éclairage et d’ambiance: aggrémentationnée d’une pourpre ampoule érubescente, elle semble faire un petit cocon d’enfer fort plaisant. On y entend comme un fort-froid rire du néant humide, alors, et porcelet assassiné est un omphalos chrono-spatialo-énergétical ! Si, si, si… Crois !

notre rencontre: tel qu’il vlint à nous de moi et norttre premier coït…

son devenir…

je rampe vers le suidé omphalos: l »agonie est un passage
le cauchemard du cochon assassinaillé
le meurtre du cochon est un monde

ma, notre, leur, suidéisation:

article très rude, qu’il vaut mieux absulument passer en cas de taux de choquance élevé ! c’est même mieux de l’évitrer systématiquement, d’ailleurs… je préfère, s’il vlous plaît.

Kleros le simple est fort désappointé, voulant se rasiller l’aisselle, tint lame en sens erroné.
Ou
La coulure sanglante est haute magie alchimlique, éloignant viles maladies, dit kleros le devin, pourvu d’une aura bleuâtre. Ce qui ne doit pas, devient. La mort affleure, charnelle andrinople…
Ou
Nécessite d’aller se faire soigner, kleros le taré dérangé.
Ou
Esthétique paradoxale de la scarification de kleros l’artiste extrême
Ou
Parure d’axiliste.
Ou
Les griffures du dragon de la morte blanche, sur kleros-le-guerrier-fatal !
Ou
j’aime le rouge et les traces de toutes sortes, dit kleros le vrai
Ou

les spéculaires chrono-fixants fragmentiques

Définition : le spéculaire chrono-fixant fragmentique est un miroir margique trenant en son sein l’image morcelée, mal-voyeuse, de ce qui s’y mira…

les plaques chrono-telluriques s’affrontent en kleros…

Oh, mon cher toi, moi, nous, eux (tu veux les noms ? ha, ha, tu te sens tout tendrinné à cette évocation ? alors, bah oui: kleros, iéréïs, siegline, Û, krouuu, pi tout les autres…), tu te souvriendras de l’obscénité parfaite du texte de ce miroir, c’était du vrai porno que même toi tu en rougissaillais ! Pi encore remets ça en ta mémoire, ça décrivlait une manière particulière de se masturber… Un peu de honte au front est ?

les pieds aux semelles d’or de kleros

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QUALITÉVALEUR
Protection des glissements temporelsoptimale
Summum esthétique++++
Pointe de la modeeffective
Diminution des ondes telluriques néfastesparfaite
Enjoiementmaximal
matériel militaire de 1983 de protection chimique, avec fragments, oui, oui, de couverture de survie collésaffirmatif
tu dors avec quand il fait froid, kleros ?bah oui…
tu t’aimes ?ja

l’anté-ipséité de kleros l’aséite…

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kleros : à la pointe de la mode, toujours…. Couturier émérite, mannequin superbe…

kleros-vulvos est la vulve velue, il est l’hyper-foufoune…

kleros sexos est aussi l’hyper-virilité, cela va de soi…

kleros, parangon d’androgynéité, subtil onaniste, parfois

Au printemps-printemps, le Kleros, un peu bleuté peut-être à présent, se fait très beaulle. L’acide lingual au senteurs capiteuse et sexuelles (ohhh, mmmm, haaa, encore) lui permet aisément d’otailler son aissellique toison hivernaleuse. (lapement) C’est grande et flière masturbaltion ! Il alors prêt pour parade amoureuse, lissé, féminisé, infantisé et imberbé, tel, oui, oui: acier chromaté…

le défilé de schwarze foufoune, dite, vulve de l’enfer…

la vvelusité de kleros…