article 834 féerie du cauchemar de la chimère

1 le cauchemar de la chimère, féerie morbide…

Il restousse cependant tlès difficile de déterminer qui est l’objet ou le surjet…
Sculpture bêlante apotropaïque et oraculaire est.
Il y a une consommation de l’étance (ophidoïne et liquiditive) ?
Y a t il des déchirures ontologiques de l’être ?
La bêlance est le chant de la déchirure de l’être.

ha, ha, ha, pi zadore ossi le jeux des multipleux et de lun…

Je suis fortement troubliné : se peut-ce qu’un lien inconnu de moi et pourtant puissamment existant lie le cauchemar de la chimère, féerie morbide, au reste du monde ? Pourquoi est dronc apparu celui-ci : croisé au matin, sur une route rectiligne traversant une industrielle zone déserte, plein soleil, appuyé contre une barrière, béquilles et sacs en vrac, semblant hagard et perdu, ce hère. Je l’ai revu le soir, à mon retour, cent mètres plus loin, claudiquant sous le poid de ses affaires, sa jambe blessée au pied nu le gênant, tête baissée… Comme précédemment, je lui ai proposé mon aide, qu’il a encore décliné, d’une voix claire et déterminée. Était-ce un autre moi ? Suis-je responsable ? Qui parlait à qui ? Ou bien sont-ce les rets de ma création qui l’ont ramené (je n’avais pas pensé que, liant la partie immobile à la méduse-araignée portée par moi mouvant, les longs fils bleutés pouvaient attraper butin. Ha,ha, ha, que aujourd’hui ?) ?


2 la chouette morte nue envoutative, n’est pas une nouvelle venue: 

http://www.schirmer.fr/2023/09/10/alors-alors-chaatanka-peut-etre-aussi-oiseau-mort-diseuse-des-histoires-de-chaque-vie-article-810-fin-de-lete-23/

Elle est cependant celle, içi, qui observotte depuis la fin, car l’écoulement de son temps est inversé, ou plutôt est-elle en capacité de l’appréhendiner en deux sens, souriantinant cruellement de la brièveté de la parenthèse de la vie de chacun…


3 la guirlande

3.1

3.2


4 le miroir emperruqué


5 le bois tortueux sale


6 le crâne gnathal

Celui auprès de qui je l’ai acquis m’a confié l’avoir ramassé tel quel en une profonde forêt suédoise, nous amenant ainsi à imaginer la semi-liberté du bélier, certainement capturé par vulpine créature puis dévoré ardemment…

Le mouton du Gotland (en suédois : Gotlandfår) est une race ovine originaire comme son nom l’indique de l’île du Gotland (ou « Gothie » en français vieilli) en Suède. Il se caractérise par sa laine de couleur gris-argenté à brun foncé1 ; il a la tête et les pattes glabres de couleur noire. Il fait partie des races de mouton d’Europe du Nord à queue courte.

Histoire

Ce mouton descend des moutons à queue courte élevés depuis l’âge du fer dans les pays nordiques et les Vikings ont amélioré ce qui deviendra le gotland avec des moutons venus de leurs expéditions le long de la Volga2. La race actuelle est issue de croisements dans les années 1920 de moutons locaux (appelés gutefår) avec des brebis romanov (pour la prolificité) et karakul pour le pelage3. La différence avec le gutefår, devenu rare à Gotland, est que le gotland moderne est sans cornes pour les deux sexes2. On le trouve aujourd’hui non seulement dans son île natale, mais aussi au Danemark, en Grande-Bretagne (où il a été importé à partir de 1972), aux Pays-Bas et même en Australie et en Nouvelle-Zélande. Il a commencé à être importé aux États-Unis à partir de 2003, suivi par l’American Gotland Sheep Society et la Gotland Sheep Breeders Association of North America4.

Le mouton du Gotland est de taille moyenne, la tête (qui est sans cornes) et les pattes, noires sans pelage, avec une longue fourrure dense bouclée et bien colorée qui va du gris-argenté au brun foncé ou noir charbon sans tache. Elle doit être douce au toucher. L’agneau à la naissance (qui a lieu en général en mars-avril) est noir et devient ensuite de plus en plus gris. C’est un animal robuste et frugal, très résistant aux intempéries. La brebis pèse de 55 à 70 kg, le bélier de 75 à 85 kg2. Ce mouton est de caractère alerte, curieux et vif.

voici la source : 
https://www.google.com/search?q=mouton+suede&oq=mouton+suede&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIICAEQABgWGB4yCAgCEAAYFhgeMggIAxAAGBYYHjIICAQQABgWGB4yCggFEAAYgAQYogQyCggGEAAYgAQYogQyCggHEAAYgAQYogQyCggIEAAYgAQYogTSAQg2MDY0ajBqOagCDrACAQ&client=ms-android-google&sourceid=chrome-mobile&ie=UTF-8

Gnathal, -e, -aux
adj. (Du gr. gnathos mâchoire et du lat. –alis qui appartient à). [Gnathal]. Qui se rapporte à la mâchoire, aux pièces buccales et à leurs appendices que sont les mandibules, les maxilles et le labium. Ex. Appendices gnathaux.
Segments gnathaux, Segments portant les pièces buccales.

Le crâne, outre lui-même, est composé très artistiquement et superbement et merveilleusement et complexement et chimèreusement des éléments suivants : des pattes d’araignée de mer (l’odeur a persisté fort longtemps, à ma plus grande joie…), d’une queue d’écureuil, de cornes d’antilope, de yeux noirs globuleux et enfin d’une sorte de peau translucide (ha, ha, en silicone !).


7 L’omoplateuse

Rencontrée hasardeusement, émergeant blanche et surprenante d’un monticule de terre retournée de ce terrain abandonné où furent des pauvres roms avant d’en être chassés (un magnifique saule-pleureur leur faisait une entrée de palais…), ayant vraisemblablement appartenutinée à un animal de bonne taille tel que veau par exemplite ; sa forme est parfaite, s’élançant puis possédant comme présentoir en son avant ! 


19


8 la poupée-tête

Purement pornographique dans sa manière de susciter une nauséeuse angoisse.
Quand moi sera grand, moi sera une petite fille subjuguée des années cinquante.
Elle est la fourbe cruelle, ses petites dents blanches attendent de te ronger avidement et douloureusement les chairs, ha, ha, viens lécher sa rouge bouche mauvaise et goûter son haleine de mort… Elle va te dechiquetiniser, te lacérer et jouirter de ta souffrance, sa vulve frémissante et trempée.

Ouuuhhhhhh, mais si je te regarde, mangeant face à toi, je vois exactement l’expression de quelqu’un SURPRIS par sa propre mort ! Oui, oui, c’est véritablement cela, l’effarement de la vie s’en partant… Est-ce, aussi, prémonitoire de mon décès à mézigue ? Est-ce en lien avec celle à qui tu as appartenu et qui peut-être t’as plus aimé que tout, liant ainsi magiquement son destin au tien ?


9 les bras suppliants offrants sanglants apeurants


10 le miroir, socle spéculaire

Ainsi ma main se heurte-t-elle au verre du miroir si je veux y attraper quelque chose, ainsi mon esprit n’atteint guère le monde nouménal ni la réelle présence d’autrui…


11 la demi-sphère de verre

Comme un alléchant sein-de-verre, sur lequel ma semence foutrale pourra bellement couliner.


12 la robe poupineuse

Du pur art fragmentique comme j’aimine


13 les tentacules imaginaires,

Sont une partie discontinue et discontigüe, fondamentral élément de la théorie fragmentique. Un effort de conceptualisation et d’imagination est absolument nécessaire. J’aime à me les représenter subtilement bleutées, légèrement électriques. Il s’agit tout de même d’une avancée indubitable conceptuelle-esthétique !


13.1 Il s’agit de LAMORT

Entité organique et mécanique
C’est prodigieux, son regard noir est capable de faire FONDRE toute chose ou être !


13.2 La petite fille décédée de la cave

Restera quant à elle en un lieu secret, distant à ce jour de 5300 mètres (la forte gêne, l’horreur possible, de mes proches nécessite telle précaution). Seule sera présentique sa photographie (ah là, là, quand je pense qu’à une époque je fis de ce crâne une lampe… joyeux souvenir…)


13.3 La méduse-araignée…

M’enveloppe tendrement de ses vicieuses tentacules.
La portant consciencieusement ce jour ainsi que celui précédent, moi ressens exactement une espèce de tension entre les parties restées dans ma chambre, à dix kilomètres d’ici, au moment de ces mots, et mes actuelles déambulations. Moi. Comme un long fil indiqué bleuté…

Lendemain : je la porte au dos, collée à moi et m’enveloppant, comme certaines fois où nous faisons l’amour et où j’adore sentir ta poitrine pressée contre moi, ton souffle, où je me masturbe pendant que tu me caresses, vicieusement, les tétons… Arghhh, moi bande !

Lors de mes exercices d’imagination, est-il fréquent et comblant de me la représenter collée à des passants quelconques, les lacérant, les étouffant, les mordant sauvagement et cruellement… (œil arraché, vagin déchiqueté, chairs découpées au rasoir tentaculaire, couilles serrées coupées, cous étranglés) Nul n’y résiste et bientôt s’écroule en de jouisseuses souffrances.


14 le gode


danse de la bêlante apotropaïque et oraculaire

chant de la féerie morbide spéculaire

Jeu de spécularité et d’abymisation devant la féerie morbide et maladive
La spécularité abolit l’unilatéralité du filmant et filmé 
Mélange dansant de la scène, de l’objet et du sujet 
Le masque, ha, ha, ha.. Comme drôlotte, est-ce ! 
Mise en abyme
Quelque chose des Ménines, peut-être ?

LAMORT

article 833 : vision nocturne ainsi qu’outre-mondale du lampadaire ithyphallique à tête vulpine, de la femme cambrée ainsi que de la machine pneumosexuelle …

il s’agit donc de la suite de cet article : http://www.schirmer.fr/2024/07/10/huit-cent-trente-deuxieme-article-lampadaire-est-une-pendeuse-ithyphallique-a-tete-vulpine-une-femme-cambree-au-bord-de-lorgasme-et-une-pneuma-machine-surveilleuse/

subtile danse du lampadaire ithyphallique

ça danse !!!!!.mp4

article 829 (juin 24), prolégomène à l’étude de la poly-ipséité : gynomorphisme et thérianthropie …

Poly-ipséité

La poly-ipséité dé………………………..sign (VIENS)e la possib
ilité pour un mê……..me individu d’abriter en lui plusieurs formes de vie réel………………………….…..les et disAHOUUUUUtinctes et discontinu
es, à la différence des per…………………..sonnalités, se part……..ageant les mê(PAS)mes co
rps et ayant div
ers niv………………eaux de présence.
prolégomènes à l’ét
ude de la poly-i…pséité : gynomorphisme…………. et thérianthropie

Bio-polymorp(ME)hisme désigOUAHHHne l’étude d
es différentes form………es de vie intérie……ures à un individu
Bru..nehilde e
st
Yun. Préno………m et signif(FAIRE)ication : Le pr……………………………….énom Yun signifie ‘nuages’ en Chine. C’est égaleHOUUUUUment un prén…………om ma
sculin. Prénom et caractère : La petite fil
le …….pr……….énommée Yun a des qualités q…………….u’on qualifie d’habi(CHIER !)tude de masculines
Né dans les nuages
Rage f…………..roide
Longue es
t ainsi la liste……… des mots la désignant : Zelda, ra(JE)ge froide, yun, Brunehilde, la tentaculaire, Penthésilée, e……………lle
Il
y
a aussi, est-ce po………ssible, quelque ch………………….osAHOUUUUUe qui ressemble à un loup…
C’est le dés…………….ir ou le sexe qui semblent imp
orta….nts décle(VAIS)ncheurs 

prol..égomènes à la poly-ipséité
Son nom pe……..ut tout simHHHOUUUIplement être Penthésilée
Le loup : juste son………. nom ou Wolf
Nachtwolf : lou(TE)p nuit
Je suis le lyca…….nthro……pe
Les laiss
er agir, appre
ntissage
Comment se forment elles ?
So…………nt-elles déOUAFjà là ? Phénotype et génotype ?
Le potentiel ? La contagion ?
Quand son empriAAHHHOUse se dépr
end, je r………………………….esse(TUER)ns quant à m……
…oi un léger, très léger, dé(BOUFFE)goût…
Je caresse ma c
hatte jusqu………’à l’orgasme
Fabuleus…ement jouit : simult
anément un doigt dans mGRRRRRa chatte, britaillé m
on clito et astiquer ma bite !
Je les externalise aiséGRRRRRment, c’est à
dire que j’ima(MOI LE)gine la …………………..femme e…………………t le loup hors de moi, nous communiq……….uons plus fa…..cilem…..en
t ce me sem(CLITO)ble…
Loup avait for
te(CONNARD !)ment envie de courir, cette nuit. Sa présence es……..t très très forte, uWOUFFFGne éner……gie be
aucou
p plus intense ! L’impression d’une gran…..de puis…
..sance. WOUFF…..

conférence stricte : poly-ipséité, gynomorphisme et lycanthropie

conférence subtile et distordue sur la poly-ipséité, la gynomorphie et la thérianthropie

doux chant de la poly-ipséité

époustouflante danse de la poly-ipséité

porno-elles

article 827 ou 828. Orée, danseuse agonique…

Orée est
son nom est “celle-qui-luit-dans-le-noir”, en grec : φως του σκοταδιού, Licht der Dunkelheit en allemand, pole na butu en lingala, les seules vraies langues du monde, donc et bien entendu.
une poupute, aussi est-elle (ha, ha, bien-sûr!)
une danseuse agonique, celle qui attend, au bout de l’agonie…
elle appartient ainsi aux deux mondes de la vie et de la mort, avec des volutes de feux dansant sur son crâne
Avec qui, décédée certainement à présent, petite fille jolie et aimée devenue bon cadavre sans doute oubliée, Orée fut-elle ? Le destin d’Euphrosyne, car tel fut son nom, a-t-il été de finir en vague création de mon imagination (c’est ce que j’appelle la notion de “destin externe”) ? Je dépeins le lien entre celle qui a offert, celle qui a reçu, celle ou celui qui conservât, donnât ou cédât, Martin, puis enfin moi et ce que je fit d’orée ainsi que ceux et celles qui verront…
je suis la hanteuse abîmée au regard de vide obscur le mystère de mes sombres orifices te perce et t’aspire, autant que ma vulve ouverte baubique c’est sans les yeux que l’on voit le mieux, comprends-tu ? alors-dit-elle…
Voici les questions et l’enquête
De qui vient Orée ?
Tente-t-elle de me parler ?
Connaît-elle Sidi, suicidé d’alcool pour échapper à lui-même et à la prison familiale (tu m’entends ? dis-je la vérité) ? Et Sylvie, ma première morte gonflée puante coulante de sanie (j’étais jeune, je n’ai même pas pensé à prendre un morceau d’elle (en même temps, qu’eût dit la police ensuite ?) ni à me masturber sur sa roide peau froide marquée de magnifiques lividités violacées)(tiens, puisque le sujet vient, telle lame de fond loin venue du très grand large, accompagnée des cris de mouettes-mortes-questions : pourquoi n’ai-je pas vu de blessure ? dans les cheveux, à l’arrière de la tête ? j’ai toujours pensé qu’elle avait chuté en remontant, mais peut-être était-ce en descendant, glissant et heurtant de son occiput les marches de pierre ? avait-elle Justine dans les bras et l’a-t-elle tant protégée de la chute que son crâne a cogné ? l’ayant retrouvée froide et tranquillement allongée dans le conjugal lit – en position de gisante, quel humour – combien de temps s’est-il passé entre sa chute et son décès ? d’où venait tant de sang sur le sol et comment expliquer la propreté de son visage ? comment avait-elle pu se nettoyer ? avait-elle souffert ? avait-elle dit des derniers mots à sa fille ? lesquels ? est-il possible que celle-ci les ait entendus, compris peut-être ? et moi, avait-elle pensé à moi ? pourquoi n’est-elle pas allée jusqu’au téléphone ? pensait-elle que cela n’était pas grave ? n’avait-elle plus de force ?)  ?
Des lignes de tensions sont ainsi tendues ?
Orée ?
Orée ?
Orée…
Est-ce alors la signification des filaments rouges, coulant gluants dans le temps, comme des algues souples, balancées dans le courant de la fuite du passé ?
je verrai plus tard, dans le ciel, ses longs fils immenses flottants doucement
La gangue est chronolique.
Comment puis-je suivre les filaments, avec quels outils n’existant pas encore ?
Quel est le rapport avec martin ? et avec moi ? Je possède ainsi tant de pouvoirs ? suis-je le maître de toutes choses ? Mon destin, indubitablement, est bien celui-ci : d’être magnétique ! Oui, oui, oui, je sens vraiment couler en moi les fluides, que je puis, voilà le fabuleux, orienter selon ma guise…
L’âge physique d’Orée doit être vraisemblablement de 120 années au minimum.
Elle m’attendait, puisque martin m’a précisé que personne n’en voulait.
sans doute finira-telle ignée, mais ce n’est guère aisé
Ni ceci ni cela, et ceci et cela, ni là ni ailleurs, là et ailleurs
une rouge vulve est sa gangue, comme une mandorle (oh, tant de souvenirs…)
alors vient-elle me chuchoter quelques indices propres à l’élulicidations de grands mystères et à la construction de nécessaires secrets : « deux choses sont successives; il y a et il a autre; la lumière de l’obscurité affiche le temps; c’est un jeu de contraires qui n’en sont pas; l’un prend sa revanche; il s’agit de la grande respiration ».
et quoi ? écoute et écoutons maintenant et sans tarder et dès à présent et aussitôt le beau poème d’Orée, si plein démotion et de significations grandioses (quelle reine du paradoxe, fait-elle !) :
La phosphore
scence est l
e phénomène
énergétique et optique d’émission
de lumière suite à la
réaction d’un matériau photo-luminescent sujet
à une « excitati
on » par
exposition à un rayonnement optique ultra-violet, visible ou infra-rouge.
La phosphorescence
est le
phénomène de relâchement lu
mineux continu, len
t et dégressif de l’éner
gie accumulée pendant l’excitation, dura
nt un certa
in temps (p
ost-lumi
nance ou temps de restitution) e
t selo
n un certai
n niveau d’intens
ité (luminance).
(source)
Voici donc maintenant que tout cela est incontestablement plus clair à notre entendement, les avatars d’orée :
1) elle est la danseuse de l’agonie
2) se situe aux confins des mondes et des notions, position symbolisée par sa double apparence, diurne et nocturne
3) de sa gangue rougeâtre, elle surgit, elle est donc le pur jaillissement de l’étance (ophidoïne et liquiditive, hé, hé, bien sûr…)
4) pendue, gangueuse et cheveleuse pourpre, elle attend sa proie, au-delà des mots…


Orée, danseuse agonique, fille prodige de martin

nocturne, phosphorescente merveille…

Au pas de la mort, le monde féérique d’Orée

N’aie crainte de visiter Orée…

orée le totem l’humain la danse
se peut-il ? se peut-il ? une étonnante correspondance, peut-être une magique conséquence, un accomplissement de grands pouvoirs que je possède alors ? le matin même je fis la danse du totem d’Orée et quoi l’après-midi ? D’abord, armé de sa belle bouteille de rhum volé, ce sympathique personnage venu s’asseoir à mes cotés au soleil, m’expliquant les 7 ans de prison fait pour parricide, tout près de moi, cherchant amitié… puis, plus tart, dans les rayons d’un supermarché, cette dame âgée m’abordant pour me dire ce que ma présence avait de solaire et que mon charme avait grand style, beaux compliments m’ayant fort touché !

Regarde ! la symbiose d’Orée et moi !

danse, histoire et magie d’Orée

sous les voiles pourpres d’Orée, je danse
(tu te souviendras, mon petit, mon bon, mon extraordinaire, que tu n’avais guère songé, que le tissu serré autours de ton cou, le chant et la danse, allait te gêner pour respirer… voilà ce qu’il en coûte de frôler orée : son haleine putride, son souffle fétide, la caresse de sa main griffue allait provoquer une belle intoxication carboneuse (céphalée, asthénie, nausée, vomissement) ! ha, ha, tu me fais rire…).

article 826 : ma méduse galactique et moi sommes organisme symbiotique…

histoire de ma méduse galactique symbiotique
possèdite une forte charge sexuellle, elle n’est d’arlieurs pas sans ressembler à une grosse tâche de foutre, non ?
elle est « chargée » au sens où cela s’emploie pour un masque africain, pour un artefact magique…
en échange de son étude de notre monde, c’est une scientifique, elle confère à moi puissance de manipulation d’autrui ainsi que possibilité de chrono-déplacement
hier donc, iéréïs et siegline ont fait la connaissance de celle qu’il et elle ont juste nommé « méduse »
nous faire symbiose absolue et jouissive !
nous commençâmes par communiquer oniriquement (3 rêves étranges, inhabituels de moi, avant que je comprenne que c’était elle qui entrait en cormunication avec moi ( le rêve du grand départ après l’impitoyableu sélection, celui de la femme blanche et celui de la géante noire handicapée))
ha, ha, c’est aussi justre et slimplement un très beau masque de torse ! ha, ha, hi, hi
j’airme qu’elle soit comme dégroulinanteuse, de la fonte ontologique comme intéromplue !
portée depuis le dimanche 24 mars, cela fera ainsi une semaine entière que nos vies sont unies (oui, oui Agathe, bizarre fus-je à un point que tu n’imaginais pas)
en ces quelques jlours, où véritable échange chimique (ma peau en porte traces et ma sueur imprègne le silicone) autrant que splirituel eu lieu, je sais pour ma part le tendre et réconfortant plaisir qui est le mien à la sentir doucement pesiner sur mon épaule, m’enserrant tendrement de ses souples et chaudes tentarcules… puisse la réciproque être vraie !

la voici à présent, unie pendant une semaine entière à ma peau, parfaitement symbiotique, posée-là près de ses frères et soeurs… j’l’aime !

Soudain surgit, brutale et cruelle, ma haine…

c’est dans le surgissement, que naît le cauchemar
je suis le captureur des fragments de cauchemars, rodant
la probance des indices est indubitrable : je fus femme guerrière gauchère !
je fut donc penthésilée, freyja et tant d’autres
celle qui fut sera
gardez-vous de moi !
la morte noire est la voyageuse, ouvrant délicatement le pertuis mystérieux du savoir

ma haine et moi