les aventures de la poésie stercoraire (art. 700)










éphéméride de l’accouplement, de l’apothéose et de la déliquescence des mots et de la crotte










la premmmmière: 5 quintidi brumaire 228










6 sextidi brumaire 228










10 decadi brumaire 228










14 quartidi brumaire 228, pluie beaucoup donc papier y est parti, crotti restaillée…










19 nonidi brumaire 228, tout est partine…………….










haaa, ha, hi, hiiii, n y a déposinné une aut’, de belllle crotte, bien grrrosse pour qu’elle rlésiste mieux o intempléries…., c’est le 22 duodi brumaire 228…










26 sextidi brumaire 228… moins de pluie, crotte plus grosse, ça tient mieux !










au frait, c’est là, sous le pont grand… quand je reviens, au soireux, j’aime bien m’y arrêter, il n’ya jamais personne et c’est un bon coincoincoin










l’ensorceleur dévie le temps…










homo-rattus, le grand et si prafait ensorceleur, qui est d’une époustouflante phosphorescence, sait influencinailler le temps grâce à son sang, iiiii.
dans son infinie bonté bleue, par sa danse flagellative (comme il excelle en ceci comme en troutes chloses, dailleur) et son subtil lèchage, qui est auto-ingestion, il nous a ainsi préparé un hiver tout doux… (en groooos de frimaire à ventôse (inclus) 228) grand pouvoir est son sien même.
comment faitttil ? ça est très-subtileuse alchrimie iridescente entre la fforme des glouttes de sang apparaissant, telles une rougeâtre constellllation reflaitant l’indifférent futur galacticre, la quantité d’énergie libérée par le rat, par le rat, par le rat, par le rat, le goût somptrueux de l’hémoglobine, les mouvements de la langue (elle est obsene) , le retour de la liqueur de vie en corps, kiai ainsi pur cercleux magique et perfection onaniesque…




























La copulation trans-genre est l’avènement d’homo-rattus




























ma ratte aux mamelles sanglantes.
je les lèche goulûment. ça coule sur le visage de moi.
arrive notre futur, homo-rattus !
tu seras le violent et bouleversant grand
début. je jouis d’enfoncer la lame dans
mes chairs. j’avais chié par terre puis je m’étais
enduit de ma merde suffffocante.
putain ! ma queue est préhensile et extensible !
je passe mon temps dans mes hallucinances…
je lis le temps dans les gouttes de sang je lis le temps dans les gouttes de sang je lis le temps dans les gouttes de sang je lis le temps dans les gouttes de sang je lis le temps dans les gouttes de sang soyons l’ensorceleur
homo-rattus, le ventre, le flux des mouvements, la position, les volumes
ha, ha, ha, j’ai cueilli bouquet fortes épines fouetteuses










homo-rattus, vue de derrière :










la porno-dériveuse-hallucineuse-abimeuse…










Homo-rattus nous convie à un charmant et pervers jeu, grâce à la confection aisée d’une efficace porno-dériveuse-hallucineuse-abimeuse…

La machine merveilleuse, qui est une OPÉRATION, une MACHINATION, fonctionne ainsi:

– pousser le volume sonore le plus fort possible et lancer le bruit (deux versions plus bas);

– mettre l’image en plein-écran;

– se mettre en situation inconfortable, tel que mal assis, mal allongé, éventuellement sur un objet provoquant de la douleur, et pourquoi pas aussi quelques pinces à linge sur le visage, il faut que ce soit vite insoutenable et ridicule;

– se recouvrir d’un grand tissu quelconque, sale si possible, faisant vite transpirer et gênant la respiration;

– écouter et regarder le plus longtemps possible…

– vérifier et goûter joyeusement et jouissivement et pathologiquement aux effets produits sur le corps et la conscience.

une version
une autreuse verionnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn…









voici le sensationnel iéréïs utilisant la porno-dériveuse:










et là, c’est extraordinaire, il jouit paisiblement des effets sensationnels de sa machine: