l’homme est un masque pour l’homme…










L’homme est un masque pour lomme

L’homme est un hommmme pour le masqueux

Le mlasque est un marsque pour le masque

Le masque est  hômm pour le masque

L’homme est un hormme pour l’homme

il y a du glissement de l’ipséité sur les fils gluants des contraires.

quelque chose est l’ipséïnaute

c’est l’heure auroréale du démasquement de cette salope de discontinuité

GLO, oui, oui, oui, est l’ipséïnaute

GLO est le grand jouisseur des contraires,

 il y oscille et y vibre à forte vitesse et avec grande élasticité, une pure merveille bien juteuse…

et, tu sais quoi ? ben, GLO est celui qui a le grand pouvoir de:

 SENTIR le FORT MAGNÉTISME des contraires ! incroyable ! Quoi ? exactement et sans mentirinner: à chaque instant peut-il percevoir l’attraction du contraire le plus opplosé ! le nom est susceptibilité 

ha, ha, d’un autre l’autre, il n’y a personne d’autre !

mais:

ce qui ne peut être vu, doit être masqué

et:

ce qui doit être vu, doit être démasqué

MULTUN
OBSUJ
ANIHUM
FHOMME
MORIEN

GLO

GLO

GLO

La phantasmie est l’outil même de GLO

il, allègrement, et fluidement, se phantasmose en:

  • objet (un poste de surveillance ou un aspirateur feront l’affaireuse)
  • femme (ha, ha, ha, GLO n’est PAS Siegline…)
  • multiple (une rangée de GLO assis prenant café)
  • animal (le loup transcendantal, n’est ce pas ?)


alors, ce que c’est que moi, n’est rien d’autre que la vague intermittente et mouvante et miroitante ornant la surface verte du fleuve vicieux

ça est entre-deux

ça est GLO

GLO, dit le prosôpon, est l’ipséînaute

GLO
GLO
GLO
GLO














































autoportrait de mon cul aux masques….










le processus de dissolution de l’ipséité en cours…



















le chant de GLO










Vociférations orgasmatiques et chant pour trois instances



















Zhâââr, le déjà-plus et le pas-encore…










Moi est Zhâââr, la femme-serpent, longue et sensuelle et vénéneuse, au yeux noirs d’abyme, au parfum de folie sexuelle, mes écaillent forment le dessin de la peur fascinante et chacun de mes mouvements est la caresse putride de la mort. Je suis, si parfaite, apothéose de féminité cruelle.

Ecoute: je suis la reine du pas-encore et du déjà-plus; je suis la reine du pas-encore et du déjà-plus; je suis la reine du pas-encore et du déjà-plus; je suis la reine du pas-encore et du déjà-plus; j’ouvre le gouffre caché au sein lascif et doux du présent glissant. Marque cela au fer rouge dans ta saloperie de tête de merde !

Alors, alors, alors, d’un regard, je tourne et retourne le temps, et quand je l’étouffe, des cauchemars de remous inquiétants et fabuleux forment un maelstrom d’horreur… Le bruit ravageur de la distorsion vrille les tympans. Tout s’effrite, tout est comme sable coulant, rouge sang.

Moi est Zhâââr, par-delà temps et lois…

Sens-tu, maintenant, déchet puant que tu es, la douleur de la faille ? Sens-tu, pauvre malade, comme la tranquille illusion devient méchant torrent bouillonnant, où les flots furieux viennent te briser sur les sombres rochers du bas de la cascade ? Ils t’attendent, putain de vermine…

Ha, ha, tes chairs sont lacérées par le granit abrasif, mille dents te déchirent, et les coups de fouet de l’eau vicieuse laissent de sanglantes marques sur ta peau maladive.

Mais que vois-je ? tu bande ! Je ris de toi. C’est ta fin venue, vois-tu. Tu vas sentir mes anneaux languissants, bruissants comme cuisses se croisant, broyer tes os, aimeras-tu ? Ton sang va se bloquer en tes veines, fou rendu; ton hurlement sera celui d’une bête achevée, déchiquetée…

Grrrrrrrrrre. Je suis Zhâââr.

Souffre, souffre, il en est enfin temps, ainsi sauras-tu.





































la dérive de Zhâââr …














































là, viens maintenant, oui, oui, sans attendre ni barguigner ni tergiversationer, ha, ha, LA DAME BLANCHE: elle fut embrassée par la femme-serpent et dansa alors follement, des jours entiers sur l’herbe humide…
elle belle,
elle virginale,
elle troublante,
elle elle










nous et notre double…










à coup de scalpel existentiable, rouillé, ébréchisé, j’ai fortement tailladré les chairs et les nerfs de ma salopeuse d’ipséité. Rouge merde est le sang giclant. en sorte que très vite ma conscience s’est bellement démultipliée, détachinée enfin de la morne unicité du présent et de la triste grisance de la réalité…



















certains, même, flottent devant la fenêtreuse…




























l’attendrissant iéréïs apprend à comptationner

Buna, guerrier phallique !










Buna est le guerrier phallique, puissant et destructeur, avide de sexe.
Ses attributs sont

bite,
fouet
et hache…










dans ce monde de brouillard tiède et gris-acier, ce n’est plus la néance, ce n’est pas encore l’étance, veille l’armée de buna. sont discernables ses soldats, les êtres limbiques; leurs yeux de rats, immenses et ronds, rougeoient doucement, leurs corps est comme fumée gélatineuse, ceinte de toiles d’araignées. leurs tétons bleus diffusent des ondes envoûtantes, aptes à paralyser de folie leurs ennemis.
tous pourvus de lances de malheur, ils sont en attente, de l’attaque.























































buna écoute l’oracle…



















les attrapes-néances…










permettent de veillationner à la strabilité, équilibrité, du jeu de l’étance et de la néance.

la néance est :
le dérobement
la discontinuation
l’échappement

elle aussi est :
dégoulineuse
iiiiiridescente
d’une stolidité et d’une flagilité arachnéenne
gluanteuse
humidinée

je suis le gardien immense dont les ailes survolent la MERDE
c’est MOI
je
je suis la parfaite VOYEUSE !!!!
je je suis l’ivrogne de la vie, le délicieux et subtil ivrogne de la vie…










ici, il, lui-même, ou bien eux, tous les autres, porte ses serres-néances en belles bagueuzes, clest breau !