danse effrénée, fioriturée, gracieusinne autant qu’éthéréenne, de l’escalier, puis danse du cadavre, laquelle sera trépidante et d’un rythmeux invu !
dansement du cadavre, ou de l’immobilité effrénée…
LA TRILPEUSE DEVENANCE ET LE TOURNEUR CE FABULEUX MÉLANGE D’HORREUR ET DE PLASTOC VIL C’EST ALORS LE RÈGNE DES OMBRES ET DE LA TOURNOYANTE LUMIÈRE CE QUI SEMBLE N’EST PAS ET EST AUTRE UNE PERSONNE : DU SANG DES CHEVEUX DU MOUVEMENT DU CHANGEMENT DANS LE NUIT ET LE JOUR DU SPERME DE LA SURFACE DE LA DÉFENSE VOICI LE NOUVEAU PIVOT DU MONDE : LA PLURIVOCITÉ HA HA HA DU COUP ÇA CHANTE TRÈS BELLEMENT !!!!
la etre pausine: ça a lu ouvrage cultur’ jap’ alors ça pratiq’ ohaguro c’est content…
attentio’, attentio’, voic’ scèneuses de pornographi’ extrêmante ! hyméros s’y dévoil’ comme jam’, obscèn’ et sensuell’ telle hyenn’ de désir … cach’ tes yeu’, prud’ âme !
et mainten’, voilà scen’ de coït extr’ et dyonis’ et (même habitu’, dois-tu fair’ attenti’ en regardan’)
un’ aut’ vers’ :
hyméros a donné à nous grandeuse compétence de multi-vision et miulti-présence et don du chant et don extrême du sifflement ! nous devrenir star !
Où l’on explorera aisément et très confortablement, même, une conscience d’un autrui, depuis, si, si, si, même, son intériorité même, et l’on passera même souplement de l’objet au surjet, c’est d’la pure révolution et j’en gicloune de bronheur… Où l’on répond enfin aux quouestions suivrantes, bouleversant l’équilibre mondal : que voit un masque ? L’intérieur d’un masque peut-il être un masque ? Suis-je un masque ? De quoi suis-je le masque ? Y-a-t-il autre chose qu’un masque ? Oh là là, cela tout me chavirotte le crânion… Où l’on fera paraître beauté et nouveauté dans trivialité, c’est noltre excellllence !
numéro 744 date normale 20 décadi de frimaire 229 date erronée jeudi 10 décembre 2020
Les dits d’himéros : Voirci donc enfin les belles révélations offenbarungen, entièrement définitives (comme gravinées, couleur de sang kolor krwi, dans un marbre veiné de blanc), c’est certain et indubitable, des mystlères, oh oui, oh oui, de la pensée, de l’amour, das liebe et du monde en général! Que l’écoutement et la concentraction et la saine perspicacité soient troutes à leurs quintessences, telles puissantes bites extrêmement bandées, voracement unersättlich oscillantes ! Ouïssons fort ce qui suit et qui est l’authentique parole, autentyczne słowo, précieusement recueillie – les mains en conque, légèrement tremblantes d’adoration et de surprise niespodzianka, sous la parcimonieuse source bleuâtre (les feuillages de l’automne, beaux cadavres en décomposition, zersetzung, à la senteur pourrie enchantant une ivresse maladive, sont utérus tzendres et maternels, j’en caresse le vert moribond umierający, il y a, il y a, aussi, le glaçant croassement de l’oiseau noir mrożący krew w żyłach rechot czarnego ptaka dont je serai là proie, victime expiatoire sühnopfer d’en trop savoir ?) -, de la pieuvre chromatophore et iridophore aux cinq tentacules, tentakeln, dont le nom secret est sekretne imię to : antéroséroshimérospothosthanathos… Une révolution s’opère, qui est la plus phénoménale libération que l’humanité menschheit ait jamais connue ! L’inouï, hi, hi, fabuleux et tortueux, le dispute à la transparente simplicité de la nouvelle vérité, cristal tranchant. Sont-ce ronces brombeeren jeżyny liant le frétillant passant inattentif ? Que viennent, sur des plaques d’acier infinies, à pas chatoyants et subtils, mille étincelles en fusent, floles, l’indiscernable et le voluptueux secret de l’être… Il semble que la vérité soit un ver de terre aveugle , blinder regenwurm, contorsionné. Mais silence à présent, cisza teraz, c’est, quelle émotion, querlle joie (sourdre une larme étincelante, est ma vision), enfin, l’heure écarlate de l’écoutrer. Elle dit: « Que
mais, quroi ? c’est plause car voici mode hiverneuse ! tu te souviendras, qui que tu seras dans futur, comme tu te sentais breau, dans ct’ épok !!!!!!!!
et voici comment tu sera, souviens-toi sans cesssse de cela, dans peu de temps finalement:
bon, poursuite des avrentures d’himeros…. la voici plus bestiale que jamais, assoiffée de luxure et de moi…
mais quoi ? une pause autre, enclore ? oui, c’est seconde propriété masquiale, d’outre protéginer, de dissimuliner égralement, non ? alors, cela est sorti ainsi, dans sa toute journéïté (2020 et 21, yavait la maladie)… rgarde:
viens, donne-moi la main, et regardons ensemble la superbe danse d’hyméros….
numérrro 743 … ciel couvert, frroidure, vu ma famille, hier…
ingrédients: – l’image de ce qui est aspiérationné par le futur – c’est ma nièce – quelques deux heures de moi, ou nous, ou ça, ou eux, ou elles, enfin bref, etc. serinant sans cesse « tic-tac » – c’est bleau – c »est de la boue temporelle au sens où la durée serait vue par un enfant ivre
ingrédientistes – l’horloge filmée longtemps – mon ou notre ou leur petit quotidien filmé longtemps aussi – le chant du tic-tac, qui est très long et très déformé – le tout est superposinaillé – ça fait bouillie visuelle et sornore
ingredineux – un peu pareil que avant mais plus court
742 tirkla épokine ou hi fait froid plus mais pas encore trop
siegline voulait à tous prix tester le port d’un corset; Û désirait un doulouro-défi; iéréïs espérait de belles marques corporelles, telles qu’il adore; chinnook était là; diotima bavait sur les chaîneuses; hiéronim, rien… sensusmalum était folle de joie à contemplionner la douleur; glo était d’accord; les autres également !
Les serpents d’acier l’enserrent dans une étreinte maladive et épuisante et étouffante et charmante La beauté de l’acier écrasant-caressant Le cortège de vulves étincelantes et mystérieuses La perfection simple des éléments liés La souplesse dure L’enchantement des formes disposées et aléatoires Le presqu’évanouissement en après-midi La concentration d’énergie tellurique (fonction de captation) La création de puissance (tournoiement magnétique accélérant les forces L’échange entre corps et métal La douleur croissante L’onctuosité des liens L’obsession grandissante au fil des heures La fierté, bleue La saveur incroyable de la journée L’essoufflement facile, apeurant Le senti du corps Le remue-ménage symbolique La parfaite création La communion historique La lourdeur des kilos de chaînes, 8 ou 12 peu ou prou L’endolorissement musculaire, perdurant sur quelques jours Le confort tendre et câlineux du serrage La légèreté retrouvillée L’amusement constant Le splendide marquage de la peau L’étrangeté du fait La piquance du défi Le soulagement joyeux La grande fatigue physique La lutte contre le mal Le bondage métallique La durée de neuf heures sans discontinuer
je hôte mon harnais cosmique, strip-tease métallique…
Comment répondre à la question « qu’est-ce qu’une racine ? » ni scientifiquement, ni poétiquement, ni artistiquement, ni philosophiquement, ni phénoménologiquement, ni historiquement, ni matériellement, ni absurdement ?
ça est toujours si ému de la tendre persistance de l’étance …
c’est maintenant la danse des étincelles et des barbelés et de la racine, pure magie somptueuse…
vla t’y pas, le 740… en jour un peu pluvieux, mi froid, où nuit part tard et s’en fuit prestement, ou même vitement.
Nom
galounnne koruskan
qualificatifrant
superbe danseur, incroyable coupeur de temps, chevaucheur chronaïque
taillure
grandeuse
sexe
très très mâle les heures paires, infiniment femelle les autres, puissamment neutre le reste du temps, voir même non-concerné quand c’est devenu un objet, ou même, ha, ha, bien-sûr, un anirmal…
vices
6,5 masturbations par jour;;;; n’est plus alcoolique, cependant… ça, ça lui plaît bien, finalement ! il en ressent aise permanente et grande fièrtinité ! comment ? oui, oui, depuis mi-messidor.
contact
galounnnekoruskan@gmail.com 0783712701
couleureuse
variable suivant la lunaire position, chatoyante et mordorée certainement. il ya un peu d’or et du gris aussi
transmission
intégrale
prototypleux
x7774B9
quoi ?
un autre café, peut-être ?
ce que nous allons voir à présent
ce sera grand et fort et puissant prodige, hâte et excitation sont! il (ainsi sera-ce qualifié par commoditinité) fera, ha, ha, dérfilé de mode, il coupera le temps en fine tranches – avec délicate musique -, il sera donc plusieurs simultanés (si, si, il capable de faire !) lui sera accompagnée de sa chouet(tu te rends compte du caadeau qui lui a été frait ? incroyable, non ?)te, lui conférant bien-sûr immense et belleuse sagesse, ce sera beau, il portera superbes habits, viendra même, en très-sexy délassement, superbe déesse inconnue et si bandante, il portera au(ce ne sera même pas plus cher, d’ailleurs, quelle générositinité)ssi son spéculaire vêtement (toi-même en inféreras-tu philosophiques considérations (avec des termes comme « réflexivité existentielle », « en-soi et pour-soi », tout le bazar, quoi…) et paradoxales remarques (en tenant compte du fait que cette parure est élément d’un costume plus conséquent, que ça portera en la fête d’haloween, pour être celui qui fait peur en montrant à celui qui voulait faire peur l’effet de peur qu’il provoque en autrui, et que donc, par ce subtil artifice, il ressentira lui-même…), hein, d’accord ?) ah là là, que de !
équivalente à presque rien, rappelon l’infinie libertré du sujet, ou de l’objet
c’est son outil tranche-temps, en pur ivoire des âges anciens, qui fait bague, qui est très agréabilisant au toucher, qui rend ouïssible le chrono-vent…
là, dessous, tu mets la valeur de ton choix au sujet du sujet de ton choix…
L es formes pend(……..)raient, telles, oui, oui, lichens d’or et d’arglent, fleurottes ou chrysalidres, utérus très-flamboyants, semblant guettiner même… Des pièges hypnotiques, à l’infinie myystèrisme ? Des cocons séducteurs, beaux étouffants ? Après tout, ce son t peut-être sed sdin, aussi. Lorsque je les frolllllerais, leurs lents et crista(blocs de vide)llins mouvements, leurs froissements au son d’eau de pierre (t’as pas l’air con, là !), me donne raient grands, >=75893 frissonements… L eur chant sera merdeusevalériane enchanteres se, hi, hi, ciguë de terreuridioteuse ! Serais-je plaralysé d’effroi ? Excitiné encore de sensualité maladive ? Qui naîtra a lors ?
oh, çui-là, c’est 736, de quand tess ? bah du 20 décadi de vendémiaire 229 !!!!
aranéides pens(t’as vu, t’as vu, j’fais du syllogisme bien baveux !)ent avec leurs toiles; je: suis une toile d’araignée; moi est alors pensée de la tisseuse
tu nombleuses pattes, tu beaucoup des yeux mais moi moins que toi, ha, ha… tu grande attendeuse, autre temps est ahhhhhh, moi avoir entrainaillé moi-même à tisser fils et plus bouger, guettinant
moi être elle, sa toile, sa vie, être heureux…
ce naze, à force de, est prisonniertiser du tremps…
You must be 18 years of age or older to access this website
I confirm that I am over 18 years of age, and understand that this website contains material featuring nudity and/or sexually-explicit material and/or adult themes that are age-restricted, and I confirm that by entering this website I agree that I am not offended by viewing such material. En cliquant sur "OK", vous acceptez par ailleurs et de par ce fait les biscuits ou cooookies des partenaires...