je suis celui (hyméros et les autres…) qui trouve l’or et la merde, d’une main…

numéro 744
date normale 20 décadi de frimaire 229
date erronée jeudi 10 décembre 2020



















Les dits d’himéros :
Voirci donc enfin les belles révélations offenbarungen, entièrement définitives (comme gravinées, couleur de sang kolor krwi, dans un marbre veiné de blanc), c’est certain et indubitable, des mystlères, oh oui, oh oui, de la pensée, de l’amour, das liebe et du monde en général! Que l’écoutement et la concentraction et la saine perspicacité soient troutes à leurs quintessences, telles puissantes bites extrêmement bandées, voracement unersättlich oscillantes ! Ouïssons fort ce qui suit et qui est l’authentique parole, autentyczne słowo, précieusement recueillie – les mains en conque, légèrement tremblantes d’adoration et de surprise niespodzianka, sous la parcimonieuse source bleuâtre (les feuillages de l’automne, beaux cadavres en décomposition, zersetzung, à la senteur pourrie enchantant une ivresse maladive, sont utérus tzendres et maternels, j’en caresse le vert moribond umierający, il y a, il y a, aussi, le glaçant croassement de l’oiseau noir mrożący krew w żyłach rechot czarnego ptaka dont je serai là proie, victime expiatoire sühnopfer d’en trop savoir ?) -, de la pieuvre chromatophore et iridophore aux cinq tentacules, tentakeln, dont le nom secret est sekretne imię to : antéroséroshimérospothosthanathos… Une révolution s’opère, qui est la plus phénoménale libération que l’humanité menschheit ait jamais connue ! L’inouï, hi, hi, fabuleux et tortueux, le dispute à la transparente  simplicité de la nouvelle vérité, cristal tranchant. Sont-ce ronces brombeeren jeżyny liant le frétillant passant inattentif ? Que viennent, sur des plaques d’acier infinies, à pas chatoyants et subtils, mille étincelles en fusent, floles, l’indiscernable et le voluptueux secret de l’être… Il semble que la vérité soit un ver de terre aveugle , blinder regenwurm, contorsionné. Mais silence à présent, cisza teraz, c’est, quelle émotion, querlle joie (sourdre une larme étincelante, est ma vision), enfin, l’heure écarlate de l’écoutrer. Elle dit: « Que






























































































































































































mais, quroi ? c’est plause car voici mode hiverneuse ! tu te souviendras, qui que tu seras dans futur, comme tu te sentais breau, dans ct’ épok !!!!!!!!

et voici comment tu sera, souviens-toi sans cesssse de cela, dans peu de temps finalement:










bon, poursuite des avrentures d’himeros…. la voici plus bestiale que jamais, assoiffée de luxure et de moi…










mais quoi ? une pause autre, enclore ? oui, c’est seconde propriété masquiale, d’outre protéginer, de dissimuliner égralement, non ? alors, cela est sorti ainsi, dans sa toute journéïté (2020 et 21, yavait la maladie)… rgarde:



















viens, donne-moi la main, et regardons ensemble la superbe danse d’hyméros….










une version autreuse :










pi zune aut’…





































Précis d’érlaboration de bouillie spatio-chronaïque

numérrro 743 … ciel couvert, frroidure, vu ma famille, hier…










ingrédients:
– l’image de ce qui est aspiérationné par le futur
– c’est ma nièce
– quelques deux heures de moi, ou nous, ou ça, ou eux, ou elles, enfin bref, etc. serinant sans cesse « tic-tac »
– c’est bleau
– c »est de la boue temporelle au sens où la durée serait vue par un enfant ivre



















ingrédientistes
– l’horloge filmée longtemps
– mon ou notre ou leur petit quotidien filmé longtemps aussi
– le chant du tic-tac, qui est très long et très déformé
– le tout est superposinaillé
– ça fait bouillie visuelle et sornore










ingredineux
– un peu pareil que avant mais plus court










inglédients
– version courte, bah oui…










ingr
– jouissance
– plaque de métal chantante
– loupine
– mon antre



















ça portrent leur masques de traverseur du continum spratio-chronaïque














































c’est la mêmeuse qu’au-dessus mais avec un orgasme de siegline, c’est fort et





































la chaînasse-mode les amusent breaucoup!

742 tirkla épokine ou hi fait froid plus mais pas encore trop










siegline voulait à tous prix tester le port d’un corset;
Û désirait un doulouro-défi;
iéréïs espérait de belles marques corporelles, telles qu’il adore;
chinnook était là;
diotima bavait sur les chaîneuses;
hiéronim, rien…
sensusmalum était folle de joie à contemplionner la douleur;
glo était d’accord;
les autres également !




















Les serpents d’acier l’enserrent dans une étreinte maladive et épuisante et étouffante et charmante
La beauté de l’acier écrasant-caressant
Le cortège de vulves étincelantes et mystérieuses
La perfection simple des éléments liés
La souplesse dure
L’enchantement des formes disposées et aléatoires
Le presqu’évanouissement en après-midi
La concentration d’énergie tellurique (fonction de captation)
La création de puissance (tournoiement magnétique accélérant les forces
L’échange entre corps et métal
La douleur croissante
L’onctuosité des liens
L’obsession grandissante au fil des heures
La fierté, bleue
La saveur incroyable de la journée
L’essoufflement facile, apeurant
Le senti du corps
Le remue-ménage symbolique
La parfaite création
La communion historique
La lourdeur des kilos de chaînes, 8 ou 12 peu ou prou
L’endolorissement musculaire, perdurant sur quelques jours
Le confort tendre et câlineux du serrage
La légèreté retrouvillée
L’amusement constant
Le splendide marquage de la peau
L’étrangeté du fait
La piquance du défi
Le soulagement joyeux
La grande fatigue physique
La lutte contre le mal
Le bondage métallique
La durée de neuf heures sans discontinuer









































































je hôte mon harnais cosmique, strip-tease métallique…





































l’homme à bite de varan



















… llaa ffiinnn ddee ttoouutteess cchhoosseess

— 741 — 12112020 — 22duodifrumaire229



















Comment répondre à la question « qu’est-ce qu’une racine ? » ni scientifiquement, ni poétiquement, ni artistiquement, ni philosophiquement, ni phénoménologiquement, ni historiquement, ni matériellement, ni absurdement ?










ça est toujours si ému de la tendre persistance de l’étance …



















c’est maintenant la danse des étincelles et des barbelés et de la racine, pure magie somptueuse…

















































































































































mich’ bob’ se repose




























l’envol de mich bob



















PpoOoèèmmmmmMmmmee dduUu rrêêvvee ddeeeeEEeee ccrruuaauuttéé ssaAadDddddddddiiqquuee : :

Jj »aaii ssoonNnnnnnggéé nnuuiittaaAAAmmeeeeeenntt qqQuuee jjee ttoorrttuuuurraaiiss uunn ppiiggeeoonn:: iimmmmoobbiillee ssuUurr llllllllllllee ttrroottttooiirr,, mmaallaaddee oOouu jjee–nnee–ssSSSaaiiss–qquuuuuuuuooii,, eenn ttoouuss ccccccccccaass iill nnee bBboouuggeeaAAaiitttttttttttttt gguuèèrree,, jjee ll »aaii vvuu,, ddeeEmmii–ttoooOOoooooooouurr,, iill yy aavvaaiittTTT ccoommmmee dduu bbrroouuiialrlda,r d’uunn mmoonnddee fflloouUUUUu ssaauuff Mmmaa pprrooiiee,, jj »aaii rréééééééééééééééééuussSssii àà lluuii rrooUUuulleerr dddddddddddDddeessssuuss,, aavveecc mmaa rroouuee aavvVVVVaanntt ddee vvéélloOo,, Jjjee ssssssssuuiiss rreevveeeennuuU eennssuuiittee llee rreeggaarrdDddddddeerr earggoonniiiisseerr,, ppaaaaaaattttee eett aaiillee ddrrooiIIIIIitteess bbrrooyyééeess,, cchheEerrcchhaanntt àà sseeEEEEEEEE ccaacchheerr,, aAabBBbaassoOouurrdDdiiiiiiiii dddddddddddee ddoouulleeuurr.. Ééttaaiitt–ccCCCee uunn ssaaaaaaaaccrRriiiiiiiiiiiiiiiiiiffiiccee pprréémmoonniittooiirree pppoouuuuurr MMmiicchheell BbooooooOOOoooooo ??


















































































galounnne, coupeur de temps, superbe mannequin …

vla t’y pas, le 740… en jour un peu pluvieux, mi froid, où nuit part tard et s’en fuit prestement, ou même vitement.










Nomgalounnne koruskan
qualificatifrantsuperbe danseur, incroyable coupeur de temps, chevaucheur chronaïque
tailluregrandeuse
sexetrès très mâle les heures paires, infiniment femelle les autres, puissamment neutre le reste du temps, voir même non-concerné quand c’est devenu un objet, ou même, ha, ha, bien-sûr, un anirmal…
vices6,5 masturbations par jour;;;; n’est plus alcoolique, cependant… ça, ça lui plaît bien, finalement ! il en ressent aise permanente et grande fièrtinité ! comment ? oui, oui, depuis mi-messidor.
contactgalounnnekoruskan@gmail.com 0783712701
couleureusevariable suivant la lunaire position, chatoyante et mordorée certainement. il ya un peu d’or et du gris aussi
transmissionintégrale
prototypleuxx7774B9
quoi ?un autre café, peut-être ?
ce que nous allons voir à présentce sera grand et fort et puissant prodige, hâte et excitation sont! il (ainsi sera-ce qualifié par commoditinité) fera, ha, ha, dérfilé de mode, il coupera le temps en fine tranches – avec délicate musique -, il sera donc plusieurs simultanés (si, si, il capable de faire !) lui sera accompagnée de sa chouet(tu te rends compte du caadeau qui lui a été frait ? incroyable, non ?)te, lui conférant bien-sûr immense et belleuse sagesse, ce sera beau, il portera superbes habits, viendra même, en très-sexy délassement, superbe déesse inconnue et si bandante, il portera au(ce ne sera même pas plus cher, d’ailleurs, quelle générositinité)ssi son spéculaire vêtement (toi-même en inféreras-tu philosophiques considérations (avec des termes comme « réflexivité existentielle », « en-soi et pour-soi », tout le bazar, quoi…) et paradoxales remarques (en tenant compte du fait que cette parure est élément d’un costume plus conséquent, que ça portera en la fête d’haloween, pour être celui qui fait peur en montrant à celui qui voulait faire peur l’effet de peur qu’il provoque en autrui, et que donc, par ce subtil artifice, il ressentira lui-même…), hein, d’accord ?) ah là là, que de !


catrégorilleincroyable, + 735
breligionnégative
charismeimpressionnant, + 7845666%
attractivité sexuellepfiouuuuu… incommensurable, bien-sûr !
taux d’énergie gravitationnelle héréditaro-historiqueéquivalente à presque rien, rappelon l’infinie libertré du sujet, ou de l’objet



c’est son outil tranche-temps, en pur ivoire des âges anciens, qui fait bague, qui est très agréabilisant au toucher, qui rend ouïssible le chrono-vent…






là, dessous, tu mets la valeur de ton choix au sujet du sujet de ton choix…
















































































































































































































des formes sont, peut-être…










L    es formes pend(……..)raient, telles, oui, oui, lichens d’or et d’arglent, fleurottes ou chrysalidres, utérus très-flamboyants, semblant guettiner même…
         Des pièges hypnotiques, à l’infinie myystèrisme ?
Des cocons séducteurs, beaux étouffants ?
Après tout, ce son     t peut-être sed sdin, aussi.
                  Lorsque je les frolllllerais, leurs lents et crista(blocs de vide)llins mouvements, leurs froissements au son d’eau de pierre (t’as pas l’air con, là !), me donne    raient grands, >=75893 frissonements…
L
eur chant sera merdeusevalériane enchanteres
        se, hi, hi, ciguë de terreuridioteuse ! Serais-je plaralysé d’effroi ? Excitiné encore de sensualité maladive ? Qui naîtra a                 lors ?
































































un autre temps, celui de l’aranéide…

oh, çui-là, c’est 736, de quand tess ? bah du 20 décadi de vendémiaire 229 !!!!










aranéides pens(t’as vu, t’as vu, j’fais du syllogisme bien baveux !)ent avec leurs toiles;
je: suis une toile d’araignée;
moi est alors pensée de la tisseuse

tu nombleuses pattes, tu beaucoup des yeux
mais moi moins que toi, ha, ha…
tu grande attendeuse, autre temps est
ahhhhhh, moi avoir entrainaillé moi-même à tisser fils et plus bouger, guettinant

moi être elle, sa toile, sa vie, être heureux…










































































































































































































































































































ce naze, à force de, est prisonniertiser du tremps…














































superbe danse ontologique, avec slip de cuir, galoches, chaînasses et lui (toujours ravissant et digne), sur le thèmeux de : « où finit une chose ? »

736, c’est son numéroque, à çui-là… puis ça datinne de l’automne de 20










alors, on peut dire, quelque chose, même cela est déjà beaucoup, est (mêmeuse remarque, parce que vraiment, on n’en sait pas breaucoup) constitué, selon toute apparence, de bois, métal, cuir, sang, chair, etc. Puis, ça fait une belleuse danse, avec un joli chant harmonieux, que ça, c’est brien une titudeçère, kraaa §