article 835) la manchotte, lampe d’angoisse

La manchotte est une OIR : oeuvre interprétative relationnelle, c’est à dire qu’elle n’est que partie, nécessite interprétation (euh, comme une musique écrite, puis interprétée et ouïe enfin)…

quel est le principe qui fait que même sans action, l’interaction existe (ou l’inverse ?) ?

l’oeuvre est aussi la personne ou pas

mais, ce lien, ou pas, entre elle et une personne ou pas, de quelle nature est-il ? magnétique ? esthétique ? énergétique ? ontologique ? symbolique ? conceptualitique ? sont-ce même des ondes ? est-il permanenteux ?

ça pourrait avoir la puissance d’une équation, existant indépendamment de sa considération :
S(x) est la fonction du scénario
M(y), M(-y) est la manchotte présente ou pas
V(z), V(-z) est la personne voyant ou pas
A(w), A(-w) désigne l’interaction effectuée ou pas, « w » sera remplacée par la lettre classificatoire du scénario selon le c-=i-dessous tableau (0, 1, 2, b, n, etc.)

Ainsi, l’écriture sera par exemple la suivante :
S(x) = M(-y) + V(z) + A(w5)

Voici en tous cas le tableau indiquant et proposant les scénarii à adoptiner face ou pas à elle :



Menstruations fécondantes telluriques sont ces attributs.

Dit : “Ma femme me parle, et j’imagine paisiblement que je lui tranche la gorge après avoir découpé à la hachette ses enfants…”

La manchotte est une lampe pour obsédé, elle est la belle bandeuse, la poupée phallique

Elle est hommage à Unica Zürn, me faisant penser à quelques de ses dessins, si, si…



La manchotte est merveilleuse séductrice, déploie capiteusement ses luminescentes tentacules de charme, t’envoutera ivressivement et sa vulve chaude viendra t’ettoufiner puis t’avarler tel boa glouton affamé

ivresse de la manchotte séductrice