un sloupçon d’exhibitionnisme ludique mlais quand-mêmeux légèrement malsain (bah si !) ——- la subtrile joie de plouvoir contemplier ma quéquette et mes tétons dans leurs vies dissimurlées harbituelement, au qrotidien ——— la plus fine compréhension des notions de dedans et dehors, d’intimité et d’extimité, des limites de la bienséance aussi ——— le doux mélange du caché que l’on ne voit et du montré qui est apparence, du clos-fermé et de l’ouvert-béant ——— le charmant goût de la provotication ——– l’application de mes talents de parfait créateur de mode ——- mon destin daseinique de mannequin superbe ——— ma gentillesse envers autrui, allant jusqu’à offrir gratruitement contemplation de la beauté de mes organes somptueux et secrets (tiens, étronnamment, je n’ai jamais songeaillé à me prostituer… pourtrant, le succès utété indréniable !) ——– la nécessitré de faire la estivale mode —— l’auto-application de la censure (si, ici, mais pas ailleurs, pleutre tièdasse que je suis !) ——– l’excitation preversineuse de jouer avec mes génitales parties et la part la plus sensibline de ouam (à ce propose, faudra que je pense à me branlotter en pareils atours…contempler le sperme giclant (anh, anh, anh) sur le plastique et voir mes tétons comme malaxinés par otrui, qui serait une créature femelleuse torride aux ongles noirs… vite…) —— saluer au ssagepas valie export, c’est importinant —— choquiner avec délectration —— plicouniser le strichement en le bilouant fortement ! —- sans oublier, dans la vridéo, mes quarlités absolument indéniabiliseuses de pur et talentueux musicien (où ksa fait, dans film, comme des orages sexuels sexualisateurs) ! ——