hartikl 727 du 14 quartidi de thermidor 228 (ça nous fait du trente-et-un juillet deux mille vingt)
izanami, (elle a révéliné à nous quil yavè quelque chose ensuite l’amour, qui, bah ouich, est donc, alors, un passsage, ha, ha, rit loredana, magnifique et étrange étincelle ambigüe ) après avoir traversé les temps et les univers, se repose en sa couche somptueusineuse
slip de cristal permet de séduire sans coup férir la belle izanami, succombant dès lors illico à tant de charme et de soin de sa personne…
rat, par son ambivalence, est totem d’izanami
irllico, il frit une parure lobulaire en patte de rat ! portarinée avec pure seyance et conférant à il grâce et dérlicatesse…
oh là là, que beau ! c’est danse du rat mort pour izanani !
il est l’âme perverse de la ville, la cité-homme, rodant tel un rat dans les égrouts de la noireuse conscience :
regarde izanami mon amour, je suis le rat…