En vision ontolique et inversatique, on devine aussi dans l’amour une autre manière désespérée de s’extraire du chaos, de ne pas être englouti et aspiré par les sables mouvants de la Béance, une main tendu par un corps perdu…
L’aller-vers dissimule le sortir-de. L’étant est à la fois désir et persistance mais aussi horreur et fuite…
Alors iéréïs koruskan est donc un moi-là, un suis-là-dans-pas-moi, un va-vers et un sors-de… Un moilà, un suislàdanspasmoi, un vavers et un sorde…