En Perséphonie, nous sommes en général beaucoup plus chatoyant que vous. Notre identité ainsi que notre apparence peuvent varier au cours de la journée et oscillons-nous ainsi sans cesse, même au cours d’une simple journée, entre objet et sujet, mâle et femelle, humain ou animal, soi et l’autre ou tout autre antagonisme… Nous ne connaissons pas la discontinuité.
La rationalité perséphonique est avant tout aquatique, de fluide et de gaz constituée. Elle est songerie volutéenne, liquiditive, labile et méandreuse…
Notre conscience, dont l’étirement de son périmètre est excessivement fort, se dilue plus aisément entre les infinis autre de l’extérieur (je suis cet arbre, je suis cette personne passant, etc) et autre de l’intérieur (ma conscience est simple partie d’un paysage intérieur, habité de choses fortement inconnues et dont l’altérité et la puissance ne sont guère moindres).
Ci-dessous, voici quelques illustrations de iéréïs koruskan en voie de réïfication, devenant objet métallique, puis en devenir de féminisation où il s’accomplit alors en perséphone koruskan.
Le voici en bestialisationnement: